L’effet-boomerang de l’initiative Macron : le pavillon israélien est le centre d’attraction de Paris.

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La France est gouvernée par un envieux sans stature : L’incompétent Macron veut blesser et se fourvoie

Les organisateurs du Salon de l’armement de Paris ont, finalement, proposé de supprimer les séparations noires autour du pavillon israélien, constatant que cette mesure avait transformé le lieu en un foyer de controverse. Israël a fermement rejeté cette proposition : « Nous ne coopérerons à aucune initiative de ce type. »

La tentative d’enfermer le pavillon israélien derrière un mur noir comme la censure la plus discriminatoire a eu le résultat inverse :

des dizaines d’équipes de télévision du monde entier se sont rassemblées autour du stand et ont filmé des reportages ; et des délégations de politiciens du pavillon américain voisin et d’autres pays sympathisants ont constamment traversé le salon israélien pour exprimer leur soutien.

Les organisateurs du salon, conscients que leur manœuvre de blocage du pavillon israélien avait transformé ce lieu en un centre d’attraction inattendu, ont suggéré aux représentants israéliens de retirer les cloisons noires. « Nous ne coopérerons à aucune initiative de ce type », a déclaré le lieutenant-colonel Sagi Pink, attaché militaire à l’ambassade d’Israël en France.

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« Nous sommes très déçus et nous nous sentons discriminés. Il y a deux jours à peine, le président Macron a déclaré qu’il soutenait notre « droit à nous défendre ». Puis, à la 90e minute, il a fait fermer notre stand », a déclaré Pink. « Nous avions prévu des réunions plusieurs mois à l’avance avec des représentants importants. Entre autres, des dirigeants de Boeing, le ministre allemand de la Défense et des représentants de Lockheed Martin. Nous allions dévoiler les technologies laser avancées de Rafael. Tout est en train de s’effondrer. »

Paroxysme de la honte d’être français : le Macronisme, éloge de la lâcheté

Evelyn, une juive française, fait partie des visiteurs venus soutenir la délégation israélienne : « Ils nous ont enfermés dans le ghetto alors qu’Israël était sous le feu. Je n’en croyais pas mes yeux quand j’ai appris qu’ils fermaient le stand, alors je suis venue voir. Ils ne nous laissent même pas apporter les rafraîchissements. J’ai honte d’être française. Israël est à nouveau exclu de la communauté internationale. »

Le Premier ministre français, François Bayrou, a publié une déclaration à ce sujet : « La position du gouvernement français était très simple : il n’y avait pas d’armes offensives sur le salon. Nous avons conclu des accords avec les représentants israéliens à ce sujet – du moins, nous le pensions. Apparemment, ce n’était pas le cas pour toutes les entreprises. Certaines n’ont pas respecté cet accord. Les armes offensives n’ont pas été retirées et nous avons décidé de couvrir temporairement les stands. »

Le pavillon israélien

Le pavillon israélien, représentant neuf entreprises israéliennes, devait ouvrir ses portes ce matin à l’Exposition universelle, considérée comme la plus importante du genre au monde et qui se tient tous les deux ans. Une source non officielle de l’Élysée a déclaré  que parmi les neuf entreprises, seules Elbit, Rafael, Israel Aerospace Industries, Aeronautics et UVision ont refusé d’obtempérer aux instructions des organisateurs et ont exposé des équipements ou des maquettes d’offensive. La décision de fermer le pavillon israélien avait été prise par le gouvernement islamo-collaborationniste français, sous l’égide du Qatar, allié de l’Iran.

L’année dernière, les autorités françaises ont également tenté de compliquer la participation des entreprises israéliennes au salon. Suite à une décision prise à l’époque par le gouvernement français et Macron, les entreprises israéliennes se sont vu interdire leur participation. Un tribunal administratif local a annulé cette décision et, en raison d’un calendrier serré, les entreprises israéliennes n’ont finalement pas pu exposer. Rafael, Elbit et Israel Aerospace Industries ont néanmoins envoyé des représentants.

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