Le mythe indestructible de la famine à Gaza

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Le mythe indestructible de la famine à Gaza

Mensonge persistant de la famine

Une famine instrumentalisée
Depuis le début du conflit entre Israël et le Hamas en octobre 2023, les accusations de famine à Gaza n’ont cessé d’être relayées par une grande partie des médias internationaux et des ONG. Pourtant, sur le terrain, la réalité semble bien plus nuancée que ne le laissent entendre ces discours alarmistes. L’acheminement de l’aide humanitaire n’a jamais cessé — en réalité, plus de nourriture qu’il n’en fallait a été introduite dans l’enclave palestinienne. Le problème ? Sa distribution.

Les stocks alimentaires ont été régulièrement détournés par le Hamas, qui s’en est servi pour nourrir ses combattants et pour alimenter un marché noir lucratif, au détriment de la population. Cette réalité, bien que documentée par plusieurs rapports, n’empêche pas la persistance d’un récit dans lequel l’État hébreu serait responsable d’une prétendue famine de masse.

Une famine qui ne dit pas son nom
Alors que les agences onusiennes annonçaient à plusieurs reprises une famine imminente, celle-ci ne s’est jamais concrétisée. Au contraire, selon de nombreuses sources sur place, les Gazaouis ne sont pas affamés au sens strict du terme. En revanche, les véritables victimes de privation alimentaire sont les otages israéliens, encore détenus par le Hamas, souvent sans soins ni nourriture suffisante.

Deux mois auparavant, Israël a renforcé le contrôle de l’aide, instaurant un blocus temporaire dans le but d’exercer une pression sur le Hamas afin d’obtenir la libération des otages. L’État hébreu supervise désormais directement la distribution dans le sud de Gaza, pour limiter les détournements et canaliser les civils vers des zones sécurisées. L’objectif ? Affaiblir militairement le Hamas tout en protégeant les populations. Ce plan a été catégoriquement rejeté par les Nations Unies, ce qui alimente la suspicion selon laquelle leur priorité ne serait pas uniquement humanitaire.

Un discours médiatique figé
Le refus obstiné d’intégrer ces éléments factuels dans le traitement médiatique de la situation illustre une dérive inquiétante. Peu importe la quantité de preuves disponibles, le récit selon lequel Israël affamerait volontairement la population civile reste prédominant. Cette posture n’est pas anodine : elle alimente un climat de haine, rend la résolution du conflit plus complexe, et nuit à la compréhension des dynamiques sur le terrain.

Ce phénomène trouve son origine dans une idéologie profondément ancrée dans les milieux humanitaires occidentaux. Israël, perçu à travers le prisme de l’État-nation occidental, est régulièrement associé à l’impérialisme ou au colonialisme. Le Hamas, bien que reconnu comme organisation terroriste par l’Union européenne, les États-Unis, le Canada et d’autres pays, bénéficie parfois d’une indulgence implicite au nom de la lutte anticoloniale.

Institutions humanitaires : quand l’objectivité fait défaut
Les grandes ONG comme Amnesty International ou Human Rights Watch, autrefois respectées pour leur impartialité, ont multiplié les rapports accusateurs à l’égard d’Israël, souvent sans mentionner les tactiques du Hamas telles que l’utilisation de boucliers humains. De leur côté, les Nations Unies ont publié plus de 360 rapports sur Gaza depuis le 7 octobre 2023, en occultant largement les crimes du Hamas, y compris le massacre de civils israéliens.

Ces biais trouvent leurs racines dans la doctrine universaliste des droits de l’homme. Inspirée par le rejet des horreurs du XXe siècle, cette idéologie voulait transcender les États pour imposer une morale commune. Mais elle a progressivement érigé des structures juridiques internationales — comme la Cour pénale internationale — déconnectées des souverainetés nationales et parfois instrumentalisées politiquement.

Le cas d’Amnesty illustre bien cette dérive. L’organisation a notamment dénoncé Israël avec virulence après la mort en détention du terroriste Walid Daqqa, condamné pour un meurtre particulièrement atroce, tout en passant sous silence les souffrances des otages israéliens détenus par le Hamas.

Une morale universelle devenue dogme
Au cœur de cette crise humanitaire et politique se trouve un paradoxe. Les institutions censées protéger les droits humains ont, pour certaines, perdu leur neutralité. Elles se sont muées en vecteurs d’un dogme idéologique où le particularisme — notamment celui du peuple juif et de l’État d’Israël — est vu comme un obstacle à l’universalisme. Cette posture théorique, héritée des idéaux d’après-guerre, s’est transformée en une hostilité latente, parfois aveugle, envers le sionisme.

Ainsi, dans l’Occident moderne, d’anciens réflexes antijuifs trouvent un nouveau langage, dissimulés derrière la morale universelle. La diabolisation d’Israël par des institutions transnationales, alimentée par des récits mensongers de famine, en est l’un des symptômes les plus visibles.

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2 Commentaires

  1. Il suffit de regarder l’émission de Léa Salamé ou Ardisson comparant Gaza à Auchwitz rien que ça !ou la Rabinne D.Horviller discriminait Israël ainsi que l’auteur du livre « le chat du Rabbin » La pourriture de A Caron buvait du petit lait,j’espère qu’il y aura un démenti officiel des autorités Israélienne

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