Iran: la crise de l’eau met le régime sous pression

La crise de l’eau en Iran met le régime sous pression

Des décennies de mauvaise gestion, aggravées par le réchauffement climatique, pourraient mener à un nouveau mouvement social.

« Ce n’est plus qu’un désert de sel à présent », déplore Amir*, en faisant défiler les clichés sur son portable. Il y a dix ans, ce natif de Tabriz, au nord-ouest de l’Iran, commence à photographier le lac d’Ourmia, à une heure de voiture de sa ville natale. Autrefois connu pour être le sixième plus grand lac salé de la planète, celui-ci ne représente plus à certains endroits qu’une grande étendue blanche et craquelée.
Et pour cause, la « perle de l’Iran » a perdu plus de 95 % de son volume d’eau en une décennie. « Une perte immense, vertigineuse », se désole le chauffeur de taxi de 38 ans.

L’eau, cet or bleu primordial .

Ah, ce coquin de sort!

L’Iran, en total stress hydrique… alors qu’il pleut sur Israël.

Ce serait bien que les juifs arrêtent de voler les nuages qui planent au dessus du ciel de l’Iran.

Tout ça, juste pour faire pleuvoir en Israël.

Serait ce la main de Dieu? Le mektoub, ce fameux destin implacable qui pèserait sur l’homme?

Que nenni!

Plus prosaïquement, Je soupçonne une certaine implication dans cette manoeuvre.

Le temps est bien « maussade » à Ashdod…il y pleut surabondamment.

Plus sérieusement, cette situation catastrophique en Iran est la résultante directe de la politique des mollahs .

Focus sur leurs velléités d’anéantir Israël, sur leur financement du terrorisme mondial, de leurs proxys , Hamas, Hezbollah, Houtis, milices irakiennes affidées …

Les « arroser » n’a pas de prix pour ce régime… mais il a un coût très prohibitif pour le peuple iranien!

Leur peuple qu’ils oppressent se voit ainsi privé de toutes les ressources du pays.

Canalisations en déshérence, robinets à sec, coupures d’eau chaque jour.

La sécheresse de Iran est à l’image de la sécheresse du cœur des ayatollahs.

A l’inverse, Israël, minuscule pays 80 fois plus petit que l’Iran, bien que se défendant de volontés génocidaires continues à son encontre, a transformé ses déserts en oasis.

Il est un pionnier , en pole position mondiale dans le dessalement des mers et le recyclage des eaux usées , grâce à l’usage de technologies de pointe (dont celle de l’osmose inverse).

Son labeur , son imagination, son sens de l’innovation, la plasticité du cerveau juif sont centrés en premier lieu sur le bien être de la population israélienne.

Deux paradigmes, deux visions du monde qui s’affrontent.

Le désert israélien transmué en champ d’expérimentations ingénieuses.

6 millions d’hommes privés de leur mausolée de marbre. Mais un peuple qui, malgré le sable infâme, y a fait pousser 6 millions d’arbres.

La volonté, l’audace (la houtzpah, en hébreu).

A l’inverse, montagnes, vallées, plaines, cours d’eau iraniens transformés en quasi désert, en raison d’une gestion calamiteuse.

Là réside l’explication cardinale de tous ces nuages noirs qui s’amoncellent sur ce régime islamiste ….

Le jour où il chutera, à force d’être honni par son peuple qu’il maltraite, nul doute qu’Israël fera profiter ce dernier de toute son expertise en la matière.

Mais d’ici là, pas mal d’eau aura coulé sous les ponts.

Morale de l’histoire
Quand un pays transforme un désert en laboratoire d’innovations,
et qu’un autre transforme un plateau persan en désert…
il n’y a pas besoin d’être prophète pour comprendre lequel a mis l’eau au bon endroit.

JForum.fr avec L’OJL Meta (E.L)

Une femme marche le long du lit asséché de la rivière Zayandehroud dans la ville d’Ispahan, à 450 km au sud de Téhéran, le 14 décembre 2021, près du pont historique de Khaju. Photo Morteza Nikoubazl/NurPhoto via AFP

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