Un post pro-Bibi, cela existe aussi. Mais celui-ci, il est fort !

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On nous a envoyé le post suivant (transcritption libre et traduction par IA) :

Vous vous êtes demandé pourquoi, au moment même où les combats se sont arrêtés sur le front iranien, ils ont repris sur le front du deep state israélien ? Pourquoi notre système judiciaire retarde et reporte la décision sur la nomination du nouveau chef du Shabak, sous prétexte d’un état d’urgence — alors que dans le même temps, il relance les audiences du procès Netanyahu au motif que « la routine a repris » ? Pourquoi, dès la sortie de Chabbath, on retourne manifester à Kaplan pour exiger l’arrêt de la guerre à Gaza — alors que la pression sur le Hamas pour capituler et libérer les otages est à son apogée historique ?

Voici ce que je me réponds à moi-même :

La doctrine Obama pour la gestion du Moyen-Orient, depuis le retrait américain de la région, reposait sur l’idée de consolider une puissance chiite, l’Iran, comme contrepoids à Israël. L’objectif était aussi la création d’un État palestinien, pour apaiser les pays sunnites — cette création étant liée à une solution à deux États. C’est cette doctrine qui sous-tendait l’accord nucléaire de 2015, mené par Obama, Kerry et les Français, et qui incluait une clause scandaleuse permettant à l’Iran d’atteindre l’arme nucléaire avec licence après 10 ans, donc à partir d’octobre cette année.

Le discours de Netanyahu au Congrès américain contre cet accord a rendu Obama et Kerry fous furieux : 1–0 pour Israël. Obama comprit alors que seul Netanyahu avait la stature personnelle et internationale pour contrecarrer sa politique. Il vit comme une priorité absolue de le faire tomber du pouvoir en Israël. Dans son immense colère, l’administration Obama soutint ouvertement Livni et Herzog aux élections israéliennes qui suivirent deux semaines après le discours, et alla même jusqu’à financer l’organisation de gauche V15, violant ainsi la loi américaine.

Mais le public israélien comprit le danger immense — et élut Netanyahu à nouveau en 2015 : 2–0 pour Israël.

Obama tenta ensuite de faire passer une résolution très dure contre Israël au Conseil de sécurité de l’ONU, mais Netanyahu la fit échouer, obtenant un veto de Poutine au nom de la Russie : 3–0 pour Israël.

En novembre 2016, les Démocrates perdirent les élections aux États-Unis. Le combat épique pour le destin du Moyen-Orient passa alors du domaine politique au domaine judiciaire. Dès novembre 2016, le journaliste Druker publia son enquête sur l’affaire des sous-marins, et on vit apparaître des « marches des sous-marins gonflables » dans les rues jusqu’en juin 2017. En moins de 6 mois après la chute d’Obama, furent ouvertes les enquêtes affaires 1000, 2000, 3000 et 4000, l’affaire des sous-marins servant de justification morale à une série incroyable de violations de la loi : tortures judiciaires, usage illégal de logiciels espions, arrestation de femmes, manipulation de témoins, pressions sur les médias, et enfin le chantage sur le procureur Mandelblit, qui finit par déposer les actes d’accusation avec le cœur lourd, juste au moment où Netanyahu signait les Accords d’Abraham aux États-Unis — ce qui fit de lui un inculpé juste à droite.

Cela permit de lancer la stratégie « Tout sauf Bibi », car qui voudrait gouverner avec un « criminel » ? C’est ainsi que nous sommes arrivés à une situation de quatre élections consécutives ratées, à la gouvernance des 6 sièges de Bennett, et à l’idée d’empêchement judiciaire juste après la chute de son gouvernement. Tous ces outils juridiques avaient pour but de paralyser Netanyahu et détruire sa capacité de gouverner.

Le succès d’Israël dans la guerre à Gaza menace aujourd’hui d’enterrer définitivement le projet d’État palestinien dans le sable de Khan Younès. C’est pourquoi Nitzan Alon (général de gauche) s’est opposé à l’entrée à Rafah, c’est pourquoi Biden impose un embargo, c’est pourquoi on amène Israël devant la Cour de La Haye, c’est pourquoi Golan nous accuse de « meurtres d’enfants », c’est pourquoi Ya’alon nous traite de « génocidaires »tout ça pour garder en vie l’option d’une partition de la Terre d’Israël, pour qu’un jour, une nouvelle génération israélienne, lavée du cerveau, reprenne le flambeau, comme à l’époque des plateaux TV de Dan Shilon.

La victoire incroyable en Iran, elle, est surtout due à la participation active et efficace des États-Unis, et les frappes ont enterré définitivement le pilier iranien de la doctrine Obama dans les ruines.

God bless Israel, and God bless America. Thank you very much.

Vous pensiez que ce n’était qu’une hypothèse ? Eh bien non. 4–0 pour Israël.

La sortie de Trump contre notre deep state est parfaitement claire.
Moi, je l’ai comprise. Et vous ?

A voir ici : https://chat.whatsapp.com/HKLTs1FP2EP6KtbVzsGYpN?mode=r_c

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