Un athlète israélien médaille d’or interdit de podium

Incident inhabituel lors d’une compétition de jiu-jitsu en Italie. Daniel Boaron a remporté la première place, mais a été contraint d’accepter la médaille dans les coulisses sans que le drapeau israélien ne soit hissé et que l’hymne national ne soit joué. Son père, l’entraîneur de l’équipe nationale, a déclaré : « La police a dit qu’en raison des dangers possibles, il serait préférable de ne pas être présent à la cérémonie »

Il semble que la réalité complexe à laquelle sont confrontées les délégations sportives israéliennes à l’étranger, dans un contexte de tensions sécuritaires avec l’Iran, atteigne des sommets. Ce soir (samedi), un événement sans précédent a eu lieu en Italie : un athlète israélien médaillé d’or n’a pas été autorisé à monter sur le podium pour recevoir sa médaille devant le public et interpréter l’hymne national.

L’incident s’est produit lors du Grand Prix de Jiu-Jitsu, où Daniel Boaron, 16 ans, concourant dans la catégorie des 48 kg, a remporté la première place. Cependant, au lieu de monter sur la première marche du podium, d’entendre « Hatikva » et d’agiter le drapeau israélien, Boaron a été contraint d’accepter sa médaille en coulisses, à la demande de la police locale arrivée sur place.

L’entraîneur de l’équipe, Amir Boaron, père de Daniel, a déclaré : « La police est intervenue pendant la compétition et a déclaré qu’en raison de la situation délicate et des dangers potentiels, il serait préférable que nous recevions les médailles sans podium, afin de ne pas attirer l’attention inutilement ni d’entrainer des provocations. Une fois la cérémonie terminée, nous avons récupéré la médaille des mains des organisateurs et sommes partis rapidement – sans podium, sans drapeau et sans hymne. »

Daniel, qui représente Israël au sein de l’Association « Eilat » pour les sports non olympiques, a ajouté avec émotion : « Je voulais monter sur le podium et chanter l’hymne, mais je suis fier d’avoir représenté le pays et heureux de cet exploit. Merci au peuple israélien et aux soldats de Tsahal qui nous protègent. Nous avons montré au monde ce que nous valons, même lorsqu’ils tentent de nous réduire au silence. »

Daniel n’était pas le seul Israélien participant à la compétition à ne pas avoir été autorisé à participer à la cérémonie de remise des prix. Le champion du monde Nimrod Rider, médaillé de bronze dans la catégorie des 77 kg, et May Daniel, médaillée de bronze dans la catégorie des 57 kg, ont également reçu leurs médailles loin du public, sans podium et sans symboles nationaux.

Une fois de plus l’Europe se discrédite par sa lâcheté, et ne semble avoir tiré aucune leçon de l’histoire présente. Leur peur irraisonnée des propalestiniens les paralyse, mais de cette paralysie il tire un certain confort, celui de ne pas devoir faire d’effort. À force de se contenter de cette paralysie qu’ils pensent ponctuelle, ils finiront par être des paralytiques tout court. Les européens sont prêts pour être asservis à l’islamo-gauchisme.

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