Tsahal élimine le patron du renseignement du Hezbollah, supervisant les transferts d’armes
Sahil Hussein Husseini, tué à Beyrouth, était partenaire des accords de transfert d’armes entre l’Iran et le Hezbollah, et est en même temps responsable de l’unité chargée de la production de missiles de précision. Il s’agit de l’installation du quartier général du Hezbollah. au Liban
L’armée israélienne a annoncé l’élimination de Sahil Hussein Husseini, chef du quartier général de l’organisation terroriste Hezbollah, lors d’une attaque ciblée hier à Beyrouth. Selon l’armée israélienne, des avions de combat de l’armée de l’air ont tué Husseini avec « la direction précise des services de renseignement ».
( Photo : REUTERS/Mohamed Azakir )
« Le quartier général est une unité logistique de l’organisation terroriste et s’occupe de tout ce qui concerne le budget et l’organisation des différents réseaux », ont indiqué les sources de Tsahal. En outre, il était membre du Conseil du Jihad, le plus haut forum militaire du Hezbollah. »
Superviseur de première ligne
Selon Tsahal, « la structure du quartier général comprend également l’unité de recherche et développement du Hezbollah, une unité qui s’occupe de la production de missiles de précision, ainsi que du domaine logistique du stockage et du transport d’armes au Liban. En raison de sa position, Husseini était impliqué dans la gestion budgétaire et logistique des projets les plus sensibles de l’organisation, y compris le plan opérationnel de guerre et d’autres plans spéciaux, notamment le lancement d’attaques terroristes contre l’État d’Israël depuis le territoire du Liban et de la Syrie. «
L’élimination de Husseini s’ajoute à une longue série de liquidations à Beyrouth et dans le quartier de Da’yiaheh, dans sa banlieue sud, considéré comme le principal bastion du Hezbollah au Liban. Lors de frappes aériennes similaires, les cibles étaient Hassan Nasrallah et son successeur Safi al-Din ; Tout l’étage du haut des forces de Radwan a fait lmes frais de ces éliminations en série ; Et avec eux aussi de nombreux autres hauts responsables, également ceux que l’on appelait au Hezbollah « les grands commandants du Jihad ».
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