Trump propulse Elise Stefanik, pourfendeuse d’antisémitisme universitaire comme rempart de l’Amérique et d’Israël à l’ONU

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Trump offre à la députée pro-israélienne Elise Stefanik le poste d’ambassadrice des États-Unis à l’ONU

Stefanik a ouvertement soutenu Israël et la lutte contre le Hamas et l’antisémitisme, en condamnant la complaisance antisémite des Présidents d’Universités américaines « prestigieuses ».

Donald Trump a aussi hautement apprécié son investissement personnel dévoué pour défendre son chef de file, durant les tentatives d’impeachment lancées contre lui.

La représentante américaine Elise Stefanik (R-NY) s’exprime lors d’une audience du Comité de l’éducation et de la main-d’œuvre de la Chambre intitulée « Tenir les dirigeants des campus responsables et lutter contre l’antisémitisme », le 5 décembre
(crédit photo : KEN CEDENO/REUTERS)

Mettre un frein à l’antisémitisme décomplexé des organes de l’ONU

Le président élu Donald Trump a offert à la représentante républicaine Elise Stefanik le poste d’ambassadrice des États-Unis auprès des Nations Unies. Elle apportera un renfort de premier ordre à Danny Danon, l’Ambassadeur d’Israël dans cette enceinte qui condamne sans preuves Israël tout au long de l’année. A un moment où l’ONU, à travers ses organismes corrompus de l’UNWRA, du Conseil des Droits de l’homme -sauf pour les Juifs, du droit des femmes sans les Juives, etc. commet des discriminations gravissimes, il est temps d’envoyer une femme à poigne redresser cette barre à la dérive, sous la houlette du pro-terroriste Antonio Guterres.

Elise Stepanik de venue une des femmes les plus puissantes de son Parti Républicain

Restaurer le Taylor  Force Act, bafoué par Biden-Harris

Quelques heures avant la publication de ce reportage, Stefanik avait publié un message sur X/Twitter dimanche, déclarant : « Joe Biden et Kamala Harris choisissent d’ignorer la loi et de renoncer aux sanctions obligatoires contre le terrorisme imposées au gouvernement palestinien. »

« Heureusement, la politique de l’administration Biden-Harris consistant à récompenser les terroristes aux dépens de notre grand allié Israël touche à sa fin. »

Stefanik est surtout connue pour avoir fait la une des journaux en décembre 2023, où elle a participé à une audience très médiatisée du Congrès avec les présidentes de Harvard, du MIT et de l’Université de Pennsylvanie pour aborder l’antisémitisme sur le campus et le sentiment général de manque de sécurité des étudiants juifs.

La présidente de l'université de Harvard, Claudine Gay, témoigne devant la commission de l'éducation et de la main-d'œuvre de la Chambre des représentants, intitulée « Tenir les dirigeants du campus responsables et lutter contre l'antisémitisme », sur Capitol Hill à Washington, aux États-Unis, le 5 décembre 2023. (Crédit : REUTERS/KEN CEDENO)Agrandir l'image
La présidente de l’université de Harvard, Claudine Gay, témoigne devant la commission de l’éducation et de la main-d’œuvre de la Chambre des représentants, intitulée « Tenir les dirigeants du campus responsables et lutter contre l’antisémitisme », sur Capitol Hill à Washington, aux États-Unis, le 5 décembre 2023. (Crédit : REUTERS/KEN CEDENO)

Lors de cette audition, Stefanik a demandé directement aux trois présidentes si « appeler au génocide des Juifs » était contraire aux codes de conduite de leurs universités respectives, ce à quoi les trois présidents ont répondu que cela dépend du contexte de la situation.

Contre les atermoiements démocrates sanctionnant Israël

En mai, elle s’est exprimée lors d’une réunion dominicale du groupe des étudiants juifs et pro-israéliens de la Knesset sur les campus du monde entier, déclarant : « Il n’y a aucune excuse pour qu’un président américain bloque l’aide à Israël. »

Stefanik a ouvertement soutenu Israël et la lutte contre le Hamas et l’antisémitisme . « C’est pourquoi j’ai parrainé ou soutenu toutes les mesures d’aide à Israël qui ont été présentées au Congrès américain – chacune d’entre elles. »

C’est aussi la raison pour laquelle Stefanik, depuis des années, est, comme elle se décrit elle-même, « une fervente partisane et partenaire du président [Donald] Trump dans son soutien historique à l’indépendance et à la sécurité d’Israël ».

Selon Stefanik, la lutte contre le Hamas est une lutte « du bien contre le mal, de la civilisation contre la barbarie et de l’humanité contre la dépravation ». Elle a ajouté que la majorité des citoyens américains soutenaient Israël.

Si  les Israéliens regrettent la mise à l’index de Nikki Haley et de Mike Pompeo, soutiens sans faille de l’Etat Juif dans les arènes internationales, mais critiques personnels de Trump et jugés comme trop « néoconservateurs ancienne formule » (sous Bush Junior), ils trouveront dans la personnalité sans faille d’Elise Stefanik une alliée particulièrement hardie et sûre.

Critiques du ramollissement de Biden, face aux ennemis jurés de l’Amérique

Sous la présidence de Joe Biden, Elise Stefanik s’est montrée très critique à l’égard de la politique étrangère de son administration.

En avril, lors d’une conférence de presse des dirigeants républicains à la Chambre des représentants, elle a exposé les points de discorde du parti concernant la gestion par Biden de la Russie, de l’Iran, de la Chine et de l’Afghanistan. 

« Sous Joe Biden, le monde est moins sûr », a déclaré Stefanik. « Sa politique désespérée d’apaisement a rendu notre pays et nos alliés vulnérables aux attaques. »

Stefanik a déclaré que les ennemis de l’Amérique ne craignent pas de recourir à Joe Biden, et que les États-Unis doivent revenir à la politique de « paix par la force » de l’ancien président Donald Trump, que les républicains de la Chambre soutiennent fièrement.

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