Toute l’info en deux minutes : COP16 pour la biodiversité, accord sur le Doliprane et Trump chez McDo

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Vous avez manqué les infos de ce début de matinée ? On vous a concocté un récap’ pour vous aider à y voir plus clair.

La communauté internationale a une nouvelle fois rendez-vous au chevet de la Terre. La 16e conférence des parties des Nations unies sur la biodiversité (COP16) s’ouvre ce lundi à Cali, en Colombie, sous le signe de l’urgence de passer « de la parole aux actes ». Les délégués des 196 pays membres (sans les États-Unis) ont été tancés dimanche par le chef de l’ONU Antonio Guterres car « nous ne sommes pas sur la bonne voie ». Lors de la cérémonie protocolaire, il a notamment rappelé que « la destruction de la nature attise les conflits, la faim et les maladies, alimente la pauvreté, les inégalités et la crise climatique, et nuit au développement durable, aux emplois verts, au patrimoine culturel et au PIB ». Reste à savoir si son appel sera entendu avant la fin de la Conférence le 1er novembre.

Alors que la polémique enfle, le gouvernement va-t-il s’éviter des maux de tête sur un dossier devenu sensible ? Depuis plusieurs jours, l’équipe de Michel Barnier tentait de rassurer sur le devenir des sites français d’Opella, qui commercialise le Doliprane. Le ministre de l’Economie et des Finances, Antoine Armand, a finalement levé le suspense dimanche. « Un accord tripartite » a été trouvé entre l’Etat, Sanofi et le fonds américain CD&R pour la cession de la filiale du groupe pharmaceutique de produits sans ordonnance. L’Etat, via Bpifrance, va ainsi entrer au capital d’Opella, avec un objectif : veiller au respect des exigences de l’Etat sur « l’emploi, la production et l’investissement ».

En pleine campagne présidentielle américaine, et à l’approche du vote du 5 novembre, Donald Trump s’est mis en scène dimanche d’une façon étonnante. Dans un fast-food de McDonald’s en Pennsylvanie, il a en effet joué le rôle d’un employé à la friteuse. L’ancien locataire de la Maison-Blanche a voulu, par cette opération, dénoncer selon lui un mensonge de Kamala Harris, qui affirme avoir eu un job d’été chez McDonald’s, en 1983, quand elle était étudiante. Mais Donald Trump estime que cela n’est que de l’opportunisme électoral car le petit boulot au fast-food est une réalité à laquelle peuvent s’identifier des millions d’Américains. L’équipe de campagne du républicain n’a apporté aucune preuve de la thèse du mensonge. Et celle de la démocrate n’a montré aucun élément matériel accréditant ce job d’été.

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