Sondage sur la haine d’Israël et de Netanyahou

L’image d’Israël et de Benjamin Netanyahou s’effritent dans le monde (enquête).

Une nouvelle enquête du Pew Research Center révèle une dégradation marquée de l’image d’Israël et de son Premier ministre Benjamin Netanyahou à l’échelle internationale. L’étude, menée au printemps 2025 dans 24 pays, dresse un constat sans appel.

Dans 20 des 24 pays sondés, au moins la moitié des adultes expriment une opinion négative d’Israël. Cette hostilité atteint des sommets en Australie, en Grèce, en Indonésie, au Japon, aux Pays-Bas, en Espagne, en Suède et en Turquie, où plus des trois quarts des répondants portent un jugement défavorable sur l’État hébreu.

Seuls le Kenya et le Nigeria affichent une opinion majoritairement positive, tandis que l’Inde reste partagée. Cette tendance s’inscrit dans une dynamique d’aggravation : aux États-Unis, la part d’opinions négatives a progressé de 11 points entre mars 2022 et mars 2025. Au Royaume-Uni, elle est passée de 44% en 2013 à 61% aujourd’hui.

Fractures générationnelles et idéologiques

L’enquête révèle des clivages nets selon l’âge et l’orientation politique. Dans les pays développés comme l’Australie, le Canada, la France ou les États-Unis, les jeunes se montrent systématiquement plus critiques envers Israël que leurs aînés.

La polarisation idéologique s’avère encore plus marquée. En Australie, 90% des personnes de gauche jugent négativement Israël, contre seulement 46% à droite. Aux États-Unis, l’écart atteint 44 points entre libéraux (74%) et conservateurs (30%).

Netanyahou en déficit de confiance

La confiance accordée à Benjamin Netanyahou suit la même trajectoire descendante. Hormis au Kenya et au Nigeria, aucun pays ne lui accorde plus d’un tiers de confiance pour gérer les affaires mondiales. L’Europe occidentale se montre particulièrement sévère, avec des taux de défiance dépassant souvent 75%.

Paradoxalement, les Israéliens eux-mêmes partagent ce constat : 58% estiment que leur pays n’est pas respecté internationalement, un sentiment qui transcende les clivages entre Arabes et Juifs israéliens, mais divise selon les orientations politiques.

A-t- on besoin de faire ce type de sondages ?

L’antisémitisme serait né avec Netanyahu voilà ce que l’on voudrait nous faire avaler ! La gauche israélienne nous prend pour des pigeons. Elle donne des armes aux antisémites du monde entier, qui la prennent en exemple tandis que ceux qui sont fiers de leur pays sont trainés dans la boue.

Tous les pays qui critiquent Israël sont gangrénés par les islamistes, qui sont eux-mêmes relayés dans les médias locaux et les réseaux sociaux. Après on s’étonne. mais c’est aussi oublier que le monde est versatile et surtout ignorant des problèmes. Mais est-ce à eux que l’on doit confier notre avenir ? 

Les médias de gauche dans leur ensemble ont réussi à nous faire croire qu’il est urgent de condamner Israël, et de faire pression sur ce petit pays de 8 millions d’habitants avec un PIB de 520 Millions d’Euros , alors qu’il fait face courageusement à 23 pays arabes dont la population globale est de 472 millions, dont le PIB est de 3.272.978 Millions d’Euros.

Israël serait un danger, voilà la belle affaire. Il se défend contre des ennemis irréductibles, prêt à mourir sans aucun état d’âme, pourvu qu’ils tuent des juifs. Malgré les pertes, et les dégâts subis, rien n’y fait. La haine dépasse de loin la raison. Et c’est à ces ennemis-là, à qui on veut donner un état, et les moyens d’arriver à leurs fins au sein même de l’état Juif.

Golda Meïr avait dit à juste titre : je préfère vos condamnations à vos condoléances. Ça reste toujours vrai, aujourd’hui plus que jamais. Et les sirènes de la gauche qui prétendent le contraire, feraient mieux de regarder l’état des pays occidentaux eux-mêmes, donneurs de leçons, face à la Russie, la Chine, l’Iran et pire encore face à l’islamisme qui est leur cancer , aujourd’hui généralisé,  au point où on se demande s’ils n’sont pas en phase terminale.

La France connait et a connu ce week-end une Intifada nationale. Personne n’a prononcé le mot. Et pourtant c’est de cela qu’il s’agit. Elle veut ostraciser Israël, mais bientôt elle ne sera plus qu’un pays du tiers monde, qui après avoir été dirigé par le Mozart de la finance, Monsieur Macron, sera dirigé par le FMI. C’est le sort des ennemis d’Israël, mais il ne faut pas le dire à haute voix.

Mais on pourrait aussi contredire ce sondage – peut-être bidon- en faisant référence à un autre sondage à l’échelle 49 Pays , où Israël  a été plébiscité de manière magistrale par des millions de personnes, et ce sondages, nous en avons tous été les témoins oculaires.

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