Un enfant palestinien a été maltraité et les yeux bandés ce week-end par les forces d’occupation israéliennes qui ont fait irruption au domicile de sa famille dans la ville de Kafr al-Dik, au centre de la Cisjordanie occupée, selon des sources locales.
Lors de leur raid dans la ville de Beit Furik, à l’est de Naplouse, des colons israéliens ont attaqué deux fillettes palestiniennes, leur frère de 3 ans et leur cousin, les emmenant dans une zone reculée. Selon des sources locales, les deux enfants ont été retrouvés inconscients et attachés à un arbre, tandis que les colons israéliens avaient pris la fuite à bord d’un quad.
Des habitants ont réussi à à secourir ces enfants palestiniens, enlevés alors qu’ils jouaient près de chez eux à Naplouse.
Des colons israéliens ont attaqué deux bus palestiniens à coups de pierres ce matin dans le quartier de Sheikh Jarrah à Jérusalem occupée, causant des dégâts et terrorisant les passagers, selon des sources locales.
L’armée israélienne vient de perquisitionner le domicile de la journaliste Wafa Awwad à Tulkarem, au nord de la Cisjordanie occupée, l’agressant et semant le chaos dans toute la propriété.
Les soldats ont pris d’assaut un immeuble à Turmus Ayya, dans le centre de la Cisjordanie, y hissant un drapeau israélien et transformant la propriété en avant-poste militaire improvisé.
Des colons israéliens sous la garde de leur l’armée harcèlent les agriculteurs palestiniens et les agressent verbalement près du village de Farkha, dans le centre de la Cisjordanie occupée.
ET LES ANIMAUX !
Un colon israélien a foncé avec sa voiture sur un troupeau de moutons près du village de Wad Rahhal, au sud de la Cisjordanie occupée, tuant certains d’entre eux, selon des sources locales.
Et ce genre de scène se déroule quotidiennement dans toute la Cisjordanie. Les colons ne sont non seulement pas sanctionnés, mais encouragés par la clique fasciste et colonialiste au pouvoir en Israël à chasser un maximum de Palestiniens de leurs terres.
Les villes de Cisjordanie sont désormais prises au piège derrière 1 000 points de contrôle israéliens et des portes en fer. Ce réseau en expansion a transformé le quotidien en un labyrinthe de retards, de fouilles et de peur. Les Palestiniens ne peuvent plus se déplacer librement.
CAPJPO-Europalestine
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