Éric Zemmour aux côtés de Tommy Robinson pour une manifestation historique.
Les médias de gauche passent leur temps à diffamer les manifestants qui expriment leurs colères légitimes : contre l’immigration incontrôlée, contre la violence généralisée et, plus encore, contre la négation de la réalité par la presse de gauche et les médias d’État.
Ce n’est pas en traitant systématiquement d’« extrême droite », de « fascistes » ou de « racistes » tous les opposants à la gauche que l’on résout un problème. C’est au contraire le meilleur moyen d’exacerber la colère d’un peuple que la gauche ne représente plus depuis un demi-siècle, et qui nourrit à son égard une rancune croissante, d’autant que ce dénigrement hautain s’accompagne d’insultes disqualifiantes et injustifiées.
Après avoir abandonné son propre peuple, la gauche s’est choisi une autre population, hétérogène, qu’elle a laissée s’installer ou contribué à importer, afin de substituer à son ancien électorat — passé massivement à droite — une base nouvelle. Or cette population, au mieux, cherche seulement un refuge sans réelle volonté de s’unir au peuple déjà présent ; au pire, elle impose ses propres règles avec une ambition hégémonique, comme on le constate en Belgique.
Sur la plupart des chaînes, l’ampleur manifeste de la mobilisation à Londres — proche du million de personnes — a été minimisée de façon ostensible et flagrante. Les participants ont même été étiquetés « extrême droite », « racistes » ou « fascistes », des qualificatifs qui disparaissent pourtant lorsqu’il s’agit de manifestations de soutien à des groupes islamistes radicaux comme le Hamas.
Les manifestants londoniens ont été décrits comme violents, alors qu’il n’y a eu que neuf interpellations, sans dégâts notables. À l’inverse, des manifestants d’extrême gauche, bien moins nombreux, ont provoqué plusieurs centaines d’arrestations et saccagé des quartiers entiers, faisant des dizaines de blessés. Ce deux poids, deux mesures n’échappe plus à personne.
Chaque jour, les médias de gauche se discréditent davantage. France Info, chaîne publique, ne rassemble plus qu’un cinquième de l’audience de CNews, devenue leur bête noire. Mais plus ils cherchent à discréditer CNews, plus ils se discréditent eux-mêmes. Les lecteurs et téléspectateurs de cette gauche crépusculaire ont cessé de lui faire confiance et savent désormais décrypter ses informations.
Londres : Éric Zemmour aux côtés de Tommy Robinson pour une manifestation historique
Ce samedi 13 septembre, Éric Zemmour a pris part à Londres à la mobilisation géante organisée par Tommy Robinson pour la liberté d’expression et contre la submersion migratoire. Selon les organisateurs, plus de trois millions de personnes ont défilé dans la capitale britannique.
Une mobilisation monstre au cœur de Londres
Dès la fin de matinée, des foules immenses se sont rassemblées à Stamford Street, avant de défiler vers Westminster et Whitehall. L’itinéraire a traversé des lieux symboliques du pouvoir britannique, escorté par plus de 1 600 policiers déployés pour encadrer la journée.
Le cortège s’est distingué par son caractère massif et patriotique. Des millions de Britanniques ont entonné Pomp and Circumstance de Sir Edward Elgar, hymne repris en 1945 à l’annonce de la capitulation du IIIe Reich. L’ambiance a été décrite comme « extraordinaire, des frissons dans toute la foule ».
Au départ de la marche, un hommage solennel a été rendu à Charlie Kirk, figure conservatrice américaine assassinée le 10 septembre dans l’Utah. Ce moment de recueillement a renforcé le message central : défendre la liberté d’expression et protéger les voix dissidentes face à la censure et aux menaces.
Zemmour aux côtés des leaders patriotes
Éric Zemmour a répondu à l’invitation de Tommy Robinson. Interrogé par Frontières sur place, il a déclaré : « Les Anglais ont raison de se rebeller contre cette invasion migratoire et cette islamisation de leur pays ». Des participants ont insisté sur l’exemple britannique : « Il faut que les Français sortent dans les rues et ne la laissent pas à l’extrême gauche. À Londres les gens sortent, et ne perdent pas leur emploi, tout se passe bien ».
Éric Zemmour prend la parole sur scène aux côtés de figures internationales comme Jordan Peterson, Steve Bannon, Eva Vlaardingerbroek et Katie Hopkins. Tous ont insisté sur la nécessité d’unir les peuples européens face à ce qu’ils considèrent comme un bouleversement migratoire et culturel.
Jean Messiha, présent aux côtés de Zemmour, a salué « une ambiance unique, digne des grandes heures patriotiques britanniques ». Il a souligné l’importance symbolique du rassemblement : « Trois millions de personnes reprenant un hymne historique, c’est la démonstration que le peuple ne se résigne pas ».
Un signal politique majeur
Tommy Robinson, organisateur de l’événement, a répété son mot d’ordre : « Unissons le Royaume pour défendre la liberté de parole ». Pour lui, le succès de cette marche prouve que le peuple britannique est prêt à se lever contre les politiques migratoires et contre une censure qu’il juge étouffante.
Face à cette démonstration de force, une contre-manifestation organisée par Stand Up To Racism a tenté de mobiliser ses soutiens, mais l’ampleur de la marche de Robinson a relégué cette initiative au second plan.
Dans un Royaume-Uni marqué par des émeutes et des tensions identitaires au cours de l’été, la mobilisation de ce samedi pourrait constituer un tournant politique. Pour les organisateurs, il s’agit d’un « réveil patriotique » appelé à inspirer d’autres nations européennes.
Frontières suit en direct cette journée exceptionnelle, donnant la parole aux principaux acteurs de ce mouvement transnational. Le message, relayé depuis Londres, est clair : la défense de la liberté d’expression et l’opposition à la submersion migratoire ne connaissent pas de frontières.
Notons que la manifestation des propalestiniens de Londres, n’a pas pesée grande chose. Il y a une aberration d’optique à croire que les peuples soutiennent la cause palestinienne. Cette aberration d’optique va disparaitre avec les gouvernements de gauche qui sont tous actuellement en sursis comme c’est le cas de Macron
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