Le marché immobilier israélien montre des signes de reprise malgré les défis économiques et géopolitiques. Cette tendance positive est alimentée par plusieurs facteurs, même en période de taux d’intérêt élevés et de conflits persistants.
Facteurs de reprise :
- Besoin de logement : Les Israéliens privilégient l’achat de biens immobiliers face à un marché locatif limité et coûteux. La demande de logements ne diminue pas malgré les conditions économiques difficiles.
- Certitude économique : Les acheteurs acceptent les taux d’intérêt élevés comme nouvelle norme. Cette adaptation rapide permet une réintégration progressive des acheteurs sur le marché.
- Inactivité gouvernementale : L’absence de solutions à long terme et de libérations de terres pour la construction continue de renforcer la demande existante. Le manque de nouvelles constructions pousse les prix à la hausse.
- Effets de la guerre : Les perturbations causées par les conflits, telles que la pénurie de main-d’œuvre et l’augmentation des coûts de construction, limitent l’offre, augmentant ainsi la pression sur les prix.
Stratégies des promoteurs : Pour encourager les ventes, les promoteurs adoptent des stratégies innovantes. Certains proposent des paiements différés et des prêts subventionnés pour rendre l’achat plus attractif. Ces mesures visent à atténuer l’impact des taux d’intérêt élevés et à attirer les acheteurs potentiels.
Analyse du marché : Le marché immobilier israélien affiche une résilience notable. Les ventes de logements augmentent, malgré une hausse des prix et des coûts de financement. Les indicateurs montrent une demande stable, suggérant que cette tendance positive pourrait perdurer à long terme.
Impact géopolitique : Les conflits régionaux influencent le marché immobilier. La guerre impacte non seulement les coûts de construction mais aussi la confiance des investisseurs. Cependant, la demande interne solide compense ces effets négatifs, assurant une certaine stabilité au marché.
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