Le bal des faux-culs dans toute sa splendeur a commencé, à l’occasion de l’attaque d’Israël contre le danger iranien :
Il y a ceux qui disent une chose et en pensent une autre, ceux qui n’ont plus le courage d’affronter les réalités, et les mettent sous le tapis , ces munichois qui vendent à bon prix la peau des autres surtout quand ils sont juifs, ceux qui parlent de paix, mais qui sèment la guerre, ceux qui soutiennent le Hamas, le Hezbollah, et l’Iran et qui parlent de cessez-le-feu, bref tous les inconséquents qui ne savent où ils habitent et veulent donner des leçons à tout le monde, et ceux dont le cerveau ne sert plus qu’aux mouvements réflexes tant la réflexion est hors de portée.
Et pourtant c’est si simple. Chaque fait est la conséquence d’une situation précédente et s’inscrit dans sa continuité. Donc les faits s’analysent dans leur continuité historique. Si on cherche à mettre l’histoire de côté, tout devient incompréhensible. L’histoire d’Israël ne commence pas à la guerre de six jours, avec la libération de la Judée Samarie, ni au 5 mai 1948 avec l’indépendance d’Israël. C’est un long parcours de 3337 ans. Il en est de même du conflit actuel avec l’Iran où les premières mises en garde datent des années 2000. Alors, à quoi bon s’étonner d’un conflit que tout le monde a laissé prospérer ?
8 millions de Juifs contre 471 millions d’Arabes et 1,2 milliard de musulmans – 1 État Juif contre 23 états arabes . Une réalité que l’on masque, par pur antisémitisme.
«Escalade dangereuse», «agression brutale» : les dirigeants internationaux réagissent aux frappes israéliennes en Iran
Les frappes israéliennes en Iran font redouter un embrasement général au Moyen-Orient. De Paris à Pékin, en passant par Washington, Londres ou Doha, les appels à la retenue se multiplient face au spectre d’une escalade incontrôlable.
Les frappes israéliennes sur des sites militaires et nucléaires en Iran dans la nuit de jeudi à vendredi ont provoqué une onde de choc dans les capitales du monde entier. Alors que le spectre d’une escalade régionale inquiète les chancelleries, les appels à la retenue se multiplient.
« Nous appelons toutes les parties à éviter toute escalade susceptible de compromettre la stabilité régionale », a déclaré vendredi le ministère français des Affaires étrangères, à la suite des frappes menées par Israël. Sur X, Jean-Noël Barrot a précisé : « Nous avons exprimé à plusieurs reprises nos vives préoccupations concernant le programme nucléaire iranien », ajoutant qu’il était « essentiel que toutes les voies diplomatiques soient mobilisées pour désamorcer les tensions ».
Appels à la désescalade
Le Royaume-Uni, par la voix de son Premier ministre Keir Starmer, s’est dit « préoccupé » et appelle les parties à « faire un pas en arrière », rapporte l’AFP. « L’escalade ne sert personne », a-t-il affirmé dans un communiqué, insistant sur la nécessité de « revenir à la diplomatie ». De son côté, l’Otan appelle à la prudence. Le secrétaire général de l’Alliance a jugé « crucial » de travailler à « une désescalade », lors d’un déplacement à Stockholm.
Le président américain, de son côté, veut croire à la reprise des négociations sur le nucléaire. Mais alors qu’il déclarait être « proche d’un bon accord » avec l’Iran, disant jeudi que Téhéran allait devoir faire des concessions, ses espoirs semblent s’éloigner… Donald Trump, qui se présente volontiers en faiseur de paix là où Joe Biden, grand soutien de l’Ukraine et d’Israël, aurait été selon lui un va-t-en guerre, a déclaré avoir été prévenu des frappes en amont.
À Pékin, le ton est grave. La Chine s’est dite « très préoccupée » par les frappes israéliennes, dénonçant une « violation » de la souveraineté iranienne. « Elle est profondément inquiète des graves conséquences que cette initiative pourrait entraîner », a déclaré Lin Jian, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, avant d’ajouter que Pékin était « prête à jouer un rôle constructif » pour apaiser la situation.
Même son de cloche à Ankara. La Turquie a exhorté Israël à cesser ses « actions agressives », par la voix de son ministère des Affaires étrangères, sans autre précision pour l’heure. Le Japon a lui aussi condamné « fermement » les frappes. Son ministre des Affaires étrangères, Takeshi Iwaya, a jugé « extrêmement regrettable » que des mesures militaires aient été prises « alors que des efforts diplomatiques étaient en cours » entre Téhéran et Washington.
Deux visions irréconciliables
Dans la région, les soutiens de l’Iran montent au créneau. Le Qatar, acteur clé dans les discussions entre Israël et le Hamas, a condamné les frappes, y voyant une « escalade dangereuse » qui « entrave les efforts visant à réduire les tensions et à parvenir à des solutions diplomatiques », selon l’agence QNA.
Le mouvement islamiste palestinien Hamas a qualifié les frappes israéliennes d’« agression brutale » et d’« escalade dangereuse qui menace de faire exploser la région ». Il accuse le gouvernement israélien de vouloir entraîner le Moyen-Orient dans « des confrontations ouvertes ». Les rebelles houthis du Yémen, alliés de Téhéran, ont exprimé leur soutien au « droit complet et légitime de l’Iran à se défendre » et à développer son programme nucléaire.
Oman, qui devait accueillir dimanche un sixième cycle de négociations sur le nucléaire iranien, a dénoncé une « escalade dangereuse ». L’Iran, qui ne reconnaît pas Israël, est accusé par les Occidentaux et l’État hébreu de chercher à se doter de l’arme nucléaire — ce que Téhéran dément, affirmant que son programme est à usage civil.
Jeudi, l’AIEA a adopté une résolution dénonçant le « non-respect » des obligations iraniennes, ce à quoi Téhéran a répondu en annonçant vouloir construire un nouveau site d’enrichissement et augmenter « de manière significative » sa production. Pour Israël, cette capacité représente une menace existentielle. Pour l’Iran, ce droit à enrichir est au contraire « non négociable ».
JForum.Fr – et le JDD
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