La FIFA, qui devait prendre une décision jeudi sur une éventuelle suspension de la fédération d’Israël de football a repoussé une nouvelle fois cette décision.
Le Conseil de la Fifa n’a pas tranché mais prétend ouvrir 2 enquêtes avant de se décider. La première portera sur l’accusation de « discrimination » portée par la PFA (fédération palestinienne de football) ; la seconde examinera « la participation à des compétitions israéliennes d’équipes israéliennes prétendument basées sur le territoire palestinien ».
Des faits archi prouvés depuis longtemps !
Les forces israéliennes ont tué plus de 450 athlètes palestiniens au cours de leur guerre génocidaire à Gaza. Plus de 100 jeunes footballeurs ont été tués, et d’autres souffrent de blessures permanentes.
Malgré ces attaques continues, les organisations sportives internationales, dont la FIFA, sont restées silencieuses sur les violations commises contre les athlètes à Gaza.
Ainsi, ce jeune footballeur palestinien, Ayham, qui a récemment participé à la coupe de Norvège, a été tué à Gaza.
Mais ce n’est sans doute pas le problème de la FIFA.
Pas plus que celui du gouvernement français, qui a accueilli avec les honneurs l’Etat génocidaire pendant les JO de Paris, et qui programme un match avec Israel jeudi 10 octobre dans le cadre d’un match de Ligue des nations, délocalisé à Budapest (Hongrie), puis le 14 novembre au Stade de France.
Pour rappel, depuis 2022, la Fifa et l’UEFA ont suspendu les équipes russes, sélections nationales et clubs, de leurs compétitions en solidarité avec l’Ukraine.
CAPJPO-Europalestine
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