Israël met ses détracteurs au défi de s’attaquer aux exécutions en cours du Hamas à Gaza.
Alors que le Hamas rassemble des Gazaouis appartenant à des factions militaires rivales et procède à des exécutions massives, l’État d’Israël met ses détracteurs au défi d’être aussi préoccupés par cette violence sanglante interne à Gaza qu’ils l’étaient par la lutte d’Israël contre les terroristes gazaouis.
Le Hamas, bien sûr, a refusé de désarmer. Il affirme qu’il ne le fera pas tant qu’il n’aura pas pris le contrôle de la nation entière d’Israël et fait de Jérusalem une capitale musulmane. C’était tout à fait prévisible : la raison d’être du Hamas est le génocide juif. Mais pour une raison inconnue, le tollé suscité par les frappes israéliennes contre des cibles terroristes à Gaza a été exponentiellement plus fort que celui suscité par les enlèvements et les meurtres de Gazaouis par le Hamas, maintenant qu’il a temporairement cessé de tuer des Israéliens.
Monsieur Macron, celui qui a pris la France en otage, comme le Hamas la fait avec les juifs, a déclaré le 12 octobre 2025 « la France est prête à contribuer au plan Trump» et qu’elle resterait « vigilante aux engagements de chacune des parties ». QUE FAIT DONC LA FRANCE FACE AUX EXECUTIONS BARBARES: Rien face à des crimes contre l’humanité ! Et pourquoi rien ? Parce que ce be sont pas des juifs qui sont les auteurs de ces crimes, mais des frères, oui des frères musulmans.
On comprend mieux pourquoi Donal Trump a chambré le président Macron. Sa sortie n’est pas passée inaperçue. Elle a même fait rire l’assistance, à commencer par les chefs d’État et de gouvernement installés à ses côtés. Donald Trump a profité de son ultime discours à l’issue du Sommet pour Gaza, lors duquel il a signé une déclaration sur l’accord visant à mettre fin à la guerre en territoire palestinien, pour remercier ses partenaires venus jusqu’en Égypte ce lundi 13 octobre, quasiment au pied levé. Aidé d’une liste manuscrite, le président américain a salué les différents pays présents. Jusqu’à arriver à son homologue français.
« Merci beaucoup Emmanuel. J’aurais imaginé Emmanuel debout quelque part derrière moi, mais où est-il ? »
, a lancé Donald Trump, se retournant à la recherche du président Macron. « Je n’arrive pas à y croire, vous faites profil bas aujourd’hui ! »
, a-t-il ajouté en pointant du doigt « son ami ». « C’est super, bon travail, merci beaucoup Emmanuel »
, a-t-il poursuivi, provoquant les rires de l’Italienne Giorgia Meloni et du Britannique Keir Starmer qui, eux, étaient bien dans son dos. Il est vrai que le Français s’est fait discret en Égypte. Absent de la table des signataires qui n’a regroupé que les pays médiateurs – États-Unis, Égypte, Qatar et Turquie -, il était assis à l’arrière-plan.
Donald Trump s’est aussi fait remarquer en complimentant le physique de la présidente du Conseil italien. « Je n’ai pas le droit de le dire, parce que normalement, c’est la fin de votre carrière si vous le dites, mais c’est une belle jeune femme »
, a-t-il déclaré à propos de Giorgia Meloni. « Je prends le risque »
, a encore dit le dirigeant républicain de 79 ans, en la cherchant du regard : « Où est-elle ? Cela ne vous dérange pas que je dise que vous êtes belle ? Parce que c’est vrai ».
Sur la photo de famille de l’événement rassemblant une trentaine de dignitaires venus du monde entier, la dirigeante italienne était la seule femme.
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