Selon les médias russes, Kondratiuk a lui-même initié ce choix musical, souhaitant “rappeler la force de la joie, de la culture et de la vie face à la haine”. Dès les premières notes, le public a reconnu le morceau iconique, souvent joué lors d’événements communautaires juifs, et la performance a rapidement circulé sur les réseaux sociaux.
À Moscou comme à Tel-Aviv, de nombreuses réactions saluent un geste symbolique fort : un artiste russe, populaire et médiatisé, qui décide d’afficher ouvertement un morceau identitaire juif dans une période où les actes antisémites connaissent une hausse mondiale. Certains commentateurs israéliens soulignent que cette chorégraphie “vaut plus qu’un long discours” et qu’elle contribue à humaniser et rendre visible la culture juive auprès d’un immense public.
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