« Nos cœurs sont brisés, mais nos esprits ne sont pas brisés »

Le Premier ministre Binyamin Netanyahu a commenté le retour des quatre dépouilles d’otages.

Netanyahu : « Mes frères et sœurs, chers citoyens d’Israël. En ce jour, nous sommes tous unis. Nous sommes tous unis dans un chagrin insupportable. Aujourd’hui, chaque foyer en Israël incline la tête. Nous inclinons la tête devant la lourde perte de nos quatre otages. Nous souffrons tous de douleur mêlée de colère. Nous sommes tous en colère contre les monstres du Hamas.
Les quatre cercueils de nos chers nous obligent plus que jamais à promettre, à jurer, que ce qui s’est passé le 7 octobre ne se reproduira plus jamais.
La voix du sang de nos chers crie vers nous depuis la terre. Il nous oblige à régler les comptes avec ces vils meurtriers – et nous réglerons les comptes avec eux.
Dieu de vengeance l’Éternel, le Dieu des vengeances, est apparue. Nos cœurs sont brisés, mais nos esprits ne sont pas brisés. Et avec cet esprit: nous ramènerons tous nos otages, nous détruirons les meurtriers, nous éliminerons le Hamas et ensemble, avec l’aide de Dieu, nous assurerons notre avenir. »

L’ambassadeur d’Israël à l’ONU, Danny Danon a posté :

Il n’existe pas de mots pour décrire une telle atrocité. Le Hamas a non seulement assassiné de sang-froid Ariel et Kfir Bibas – un garçon de quatre ans et un bébé de dix mois – mais il continue de violer toutes les valeurs morales fondamentales même après leur mort.
Au lieu de restituer Shiri, la mère de Kfir et Ariel, le Hamas a renvoyé un corps non identifié, comme s’il s’agissait d’une cargaison sans valeur. C’est une nouvelle abomination, un mal et une cruauté sans équivalent.
Le Secrétaire général de l’ONU, le Conseil de sécurité et l’Assemblée générale ne peuvent pas continuer à rester silencieux face à la barbarie du Hamas. L’État d’Israël exige une condamnation claire et sans équivoque de ce crime odieux et une demande claire et immédiate du retour de Shiri à sa famille. L’histoire se souviendra bien de ceux qui sont restés les bras croisés et silencieux pendant que le Hamas piétinait les principes les plus élémentaires de l’humanité.