Il y a des jours qui marquent un tournant. Le 29 septembre 2025 en fut un. À Washington, Donald Trump et Benyamin Netanyahou ont présenté devant le monde non pas une simple feuille de route, mais une vision : un projet de paix qui brise les illusions, balaie les hypocrisies, et rend enfin justice à la vérité fondamentale du Moyen-Orient — Israël ne sera jamais vaincu, et l’Amérique ne se détournera jamais de son allié.
Trump a ouvert la conférence de presse avec une formule grandiose — « L’un des plus grands jours de civilisation ». On peut sourire de l’excès rhétorique, mais il y a du vrai : rarement avait-on vu une telle convergence de clarté et de volonté politique. Ici, pas de faux-semblants, pas de diplomatie cynique : le Hamas doit rendre les otages sous 72 heures, Gaza doit être démilitarisée, et si ce plan est rejeté, Israël aura le droit absolu — et l’appui total de Washington — d’aller jusqu’au bout.
C’est un langage que le Proche-Orient comprend. Depuis trop longtemps, les capitales occidentales ont joué aux équilibristes, condamnant Israël d’une main et caressant les dictateurs arabes de l’autre. Trump, lui, tranche : assez de mensonges, assez de « processus de paix » qui ne mènent nulle part.
Netanyahou, fidèle à sa réputation de guerrier, n’a pas cédé un pouce sur l’essentiel : non, il n’y aura pas d’État palestinien. Non, Israël ne sacrifiera pas sa sécurité sur l’autel des chimères diplomatiques. Et pourtant, il a eu l’audace d’accepter un plan qui ouvre la porte à une paix régionale plus large — une paix non pas imposée par des ONG ou des chancelleries européennes, mais forgée avec les États arabes pragmatiques qui comprennent que l’avenir se joue avec Jérusalem et Washington, pas contre eux.
C’est là la grande leçon : le monde arabe, fatigué de l’aventurisme terroriste, commence à accepter qu’Israël est un pilier de stabilité. Les Accords d’Abraham l’avaient amorcé. Aujourd’hui, la dynamique est irréversible.
Trump a eu raison de rappeler les faits que tant d’Occidentaux préfèrent oublier : Israël s’est retiré de Gaza, a laissé aux Palestiniens une chance historique, et qu’ont-ils fait ? Élire Hamas, construire 400 miles de tunnels de mort, transformer hôpitaux et écoles en arsenaux. Le peuple palestinien a été trahi par ses propres dirigeants.
Ce plan, dans son exigence, son réalisme et sa brutalité assumée, est une main tendue. Mais c’est aussi un avertissement : si les Palestiniens refusent encore, s’ils persistent à choisir la haine, ils porteront seuls la responsabilité de leur misère.
Trump, fidèle à lui-même, a mis les pieds dans le plat : « Hamas doit libérer les otages sous 72 heures. Sinon, Israël aura notre soutien total pour faire le nécessaire. » Voilà. Clair, net, tranchant. À côté, que font les diplomaties européennes ? Elles signent des communiqués mous, organisent des marches blanches, et s’étonnent que le terrorisme n’écoute pas leurs sermons.
Il y a des instants où le masque tombe. Tandis que Donald Trump et Benyamin Netanyahou redessinent le Moyen-Orient à Washington, les capitales européennes… organisent des colloques. Pendant que l’Amérique et Israël parlent d’otages, de tunnels, de démilitarisation, Bruxelles et Paris parlent de « rééquilibrage diplomatique » et de « solutions à deux États » — la formule magique qui ne marche jamais mais qu’ils répètent comme un mantra.
Et comme toujours, l’UE se prend pour la conscience universelle, tout en finançant — par de gentilles « aides humanitaires » — la machine de propagande de Ramallah. Résultat : les contribuables français et europeens paient, Hamas creuse ses tunnels, et BFM TV et france2 accusent Israël de « disproportion ».
Soyons sérieux : ce n’est pas l’UE, ni l’ONU, ni les militants en keffieh à République qui sauveront le Moyen-Orient. C’est l’alliance indestructible entre Israël et l’Amérique. Le reste ? Du bruit de fond, de la morale de salon, des éditos larmoyants dans les chaines d’info Francaises et la presse: le figaro, le mone. Libération, france info, la Croix, l’Huma….
La gifle est cinglante. La Maison Blanche parle d’un accord “très proche”, Washington et Jérusalem avancent… et Paris ? Relégué au rôle de spectateur aigri, coincé entre ses ONG hystériques et ses diplomates incapables de peser.
Macron croyait incarner la voix de l’Europe, il se retrouve en figurant d’une pièce qu’il ne comprend même plus.
Ironie ultime : Trump, tant moqué par l’élite parisienne, est aujourd’hui celui qui donne le tempo, et Netanyahu, que les médias français adorent détester, impose sa vision sécuritaire comme non-négociable. Macron, lui, fait du Macron : beaucoup de vent et phrases, aucun effet. Juste des salam alek et un état fantoche pour faire plaisir au Qatar.
Israël n’est pas le problème. Israël est la solution — un phare de démocratie, d’innovation et de résilience dans une région minée par la tyrannie. Et l’Amérique, en redevenant sous Trump la garante d’un ordre international basé sur la force et non la faiblesse, redonne à l’Occident son honneur.
Ce moment n’est pas qu’une conférence de presse. C’est l’esquisse d’une nouvelle ère : une ère où l’axe Jérusalem-Washington ne tremble pas, où les ennemis de la liberté comprennent enfin qu’ils n’ont plus de carte à jouer.
Le message est clair : Israël vivra, prospérera, gagnera. Et l’Amérique sera à ses côtés.
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