Voici la traduction en français du texte hébreu :
Netanyahou lors d’une conférence de presse pour la presse étrangère : « Il y a 5 conditions pour mettre fin à la guerre »
Le Premier ministre Benyamin Netanyahou a tenu aujourd’hui (dimanche) à Jérusalem une conférence de presse destinée à la presse étrangère, au cours de laquelle il a exposé cinq conditions pour mettre fin à la guerre à Gaza. Selon lui, ces conditions sont :
- Le désarmement du Hamas,
- La libération des otages,
- La démilitarisation complète de la bande de Gaza,
- Le maintien d’un contrôle sécuritaire israélien,
- La mise en place d’une force civile de maintien de la paix.
Dans sa déclaration, il a affirmé :
« Étant donné le refus du Hamas de déposer les armes, Israël n’a d’autre choix que de mener à bien sa mission et de vaincre le Hamas. Les nouvelles opérations offensives à Gaza visent à traiter les deux bastions restants du Hamas. »
Il a également précisé avoir donné instruction à l’armée de permettre à un plus grand nombre de journalistes étrangers d’entrer à Gaza, afin qu’ils puissent documenter la réalité sur le terrain, face aux « informations biaisées et mensongères » circulant dans le monde sur la situation des Gazaouis. Il a ajouté qu’Israël allait ouvrir des corridors sécurisés et de nouveaux centres de distribution d’aide.
Concernant la prise de la ville de Gaza, il a déclaré :
« Je ne veux pas donner de calendrier précis, mais nous parlons d’un délai court, car nous voulons mettre fin à la guerre. »
Au sujet des destructions massives dans la bande de Gaza, il a expliqué :
« La destruction est due au fait que le Hamas piège de nombreux bâtiments avec des explosifs. »
Il a ajouté qu’il s’attendait à ce que la guerre à Gaza se termine « assez rapidement » et qu’au sein des échelons politiques et militaires, on « envisage des moyens créatifs » pour libérer les otages tout en resserrant l’étau sur le Hamas. Selon lui, prolonger la guerre mettrait en danger la vie des otages en raison de la faim :
« Notre objectif est de sortir tous les otages, vivants ou morts, de la bande de Gaza. »
Le siège des familles d’otages a, pour sa part, interpellé aujourd’hui le Premier ministre à l’approche de ce qu’il a qualifié de « mises en scène médiatiques » destinées à la presse étrangère et locale. Dans son communiqué, il l’a exhorté à « profiter de la tribune ce soir pour déclarer clairement et sans ambiguïté votre engagement à ramener les 50 otages et l’otage femme, dans le cadre d’un accord global et de la fin de la guerre ».
Le communiqué poursuit :
« Voilà déjà 22 mois que ce jour terrible est passé. Plus de 80 % du peuple israélien soutient la fin de la guerre dans le cadre d’un accord global, et veut voir tous les otages revenir chez eux. Assez de tergiversations et de soumission aux considérations politiques d’une minorité extrême et délirante, avant qu’il ne soit trop tard, avant le sacrifice. C’est le seul mandat que vous avez reçu, c’est votre devoir envers le peuple d’Israël, envers la fraternité et la solidarité mutuelle. Agissez maintenant, avant qu’il ne soit trop tard. Assez des sabotages. »
Ces militants de la gauche extrême ne peuvent pas parler au nom de soi-disant 80% des israéliens. C’est un mensonge. La seule chose qui les fait se mouvoir c’est la haine de la démocratie et de Netanyahou. Avec l’échange suicidaire de Gilad Shalit il y a 10 ans, Israël a libérer 1200 terroristes avec du sang sur les mains. C’est ceux-là mêmes qui ont organisé le 7 octobre 2023. Les mêmes ont soutenus le désengagement de Gaza en 2005, et les accords d’Oslo. Oui pour la libération des otages, mais pas au prix de la rédition d’Israël face au Hamas.
Ces militants de la gauche extrême ne peuvent pas parler au nom de soi-disant 80% des israéliens. C’est un mensonge. La seule chose qui les fait se mouvoir c’est la haine de la démocratie et de Netanyahou.
Avec l’échange suicidaire de Gilad Shalit il y a 14 ans, Israël a libéré 1000 terroristes avec du sang sur les mains. C’est ceux-là mêmes qui ont organisé les massacres du 7 octobre 2023. Les mêmes gauchistes, avec leurs dirigeants de l’époque, veulent donner des leçons de stratégie, alors qu’ils ont soutenu le désengagement de Gaza en 2005, et les accords d’Oslo. Leur politique, notamment celle du désengagement de Gaza, est à l’origine de milliers de morts et de plusieurs guerres avec le Hamas. Oui pour la libération des otages, mais pas au prix de la reddition d’Israël face au Hamas. Ils ont pris les otages en otages pour affaiblir Israël et le délégitimer face au monde entier. En cela ils sont les complices du Hamas, et luttent contre Israël. Le Hamas compte sur eux pour faire plier le gouvernement.
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