L’Université d’Anvers a décidé de poursuivre sa collaboration sur un projet de recherche avec l’université israélienne de Tel Aviv, malgré un avis négatif de sa propre commission d’éthique en matière de droits humains, a tranché son organe de direction mardi soir.
L’Université d’Anvers a décidé de poursuivre sa collaboration sur un projet de recherche avec l’université israélienne de Tel Aviv, malgré un avis négatif de sa propre commission d’éthique en matière de droits humains, a tranché son organe de direction mardi soir.
L’université d’Anvers précise dans un communiqué que chaque partenaire du projet maintenu reçoit des fonds du pays ou il est implanté et qu’aucun financement n’est donc versé à l’université israélienne par un autre État. Le projet en question réunit des chercheurs belges, néerlandais, français, italiens et israéliens autour du développement d’un traitement plus rapide pour une forme héréditaire d’épilepsie grave chez les bébés et les jeunes enfants.
« La finalité de la recherche, à savoir trouver un remède pour une forme rare et actuellement incurable d’épilepsie chez les enfants, a joué un rôle dans la décision finale », affirme l’UAntwerpen.
Partager :
La source de cet article se trouve sur ce site