L’Institut Weizman, partie intégrante du complexe militaro-scientifique israélien, a été touché dimanche soir par un missile iranien, le gouvernement se refusant jusqu’à présent à fournir des précisions sur l’étendue des dégâts. L’Institut est basé à Rehovot, au sud de la métropole de Tel-Aviv.

Le New York Times, peu suspect d’hostilité envers l’État génocidaire du peuple palestinien et agresseur de la République d’Iran, a confirmé que « des laboratoires » de l’Institut de recherche avaient été touchés, sans dire pour autant lesquels.
On rappelle qu’Israël, outre qu’il est le seul État du Proche et Moyen-Orient détenteur de l’arme nucléaire, est aussi l’un des très rares États au niveau mondial à avoir refusé les conventions internationales interdisant les armes chimiques et biologiques.
Israël fait ainsi partie des seuls pays, avec la Corée du Nord, le Soudan et l’Égypte, à ne pas avoir ratifié la Convention sur l’interdiction des armes chimiques.
Idem pour la Convention Internationale bannissant l’emploi des armes biologiques, dont Israël a toujours refusé de faire partie.
Depuis sa proclamation en 1948, l’État d’Israël a sérieusement travaillé à des plans d’empoisonnement des puits des villages palestiniens conquis par ses armées, pour dissuader les victimes de la Nakba de revenir dans leurs foyers.
CAPJPO-EuroPalestine
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