L’Indonésie a annoncé, lors de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York, sa volonté de déployer 20 000 soldats à Gaza pour mettre fin au génocide en cours.

Et la France qui envoie des troues et des armes à l’Ukraine, que n’en fait-elle autant pour stopper le génocide à Gaza ?
Le vice-Premier ministre slovène, s’exprimant depuis New York, a affirmé que Gaza est devenue un exemple flagrant de l’échec de la communauté internationale : « Nous n’avons pas arrêté l’Holocauste. Nous n’avons pas arrêté le génocide au Rwanda. Nous n’avons pas arrêté le génocide de Srebrenica. Nous devons arrêter le génocide à Gaza.»
Le président chilien Gabriel Boric a déclaré devant l’Assemblée générale des Nations Unies, que les actions d’Israël à Gaza étaient comparables à l’Holocauste et a demandé à ce que Netanyahou et les responsables du génocide soient traduits devant les tribunaux internationaux. « C’est un génocide, et nous devons y mettre fin. Cette instance des Nations Unies en est le témoin silencieux.»

Il a également déclaré que Trump permettait aux missiles de s’abattre sur les enfants, les femmes et les personnes âgées à Gaza.
« L’État palestinien est un droit, et non une récompense », a tenu à souligner le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, lors de la 80e Assemblée générale des Nations Unies à New York .

Le Premier ministre espagnol, Pedro Sanchez, a quant à lui proposé à l’ONU l’adhésion à part entière de l’État de Palestine et appelé à des mesures immédiates pour mettre fin au génocide, avertissant : « L’Histoire nous jugera et sera impitoyable envers ceux qui sont restés silencieux et ont fermé les yeux. »
CAPJPO-Europalestine
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