Le Hamas sous la menace d’Israël, qui traque, enfin, et avec efficacité, l’argent des donations au terrorisme.

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Le journal Globes a eu l’occasion d’interviewer les bénévoles et experts en technologie qui aident Israël et d’autres pays à localiser et bloquer les canaux financiers des organisations terroristes du monde entier.

En juillet dernier, un religieux de Gaza, fort d’un million d’abonnés sur TikTok, a lancé une campagne de financement participatif sur la plateforme américaine GoFundMe.

Objectif affiché : récolter 500 000 € « pour répondre aux besoins humanitaires et à l’aide aux civils de Gaza ».

Mais en coulisses, une équipe secrète a cherché à découvrir ses véritables objectifs et a rapidement découvert ses liens avec un religieux nommé Al-Sharif, membre du Forum des prédicateurs palestiniens, affilié au Hamas.

Grâce à un logiciel de reconnaissance faciale, l’équipe a retrouvé des images sur les réseaux sociaux montrant le recruteur appelant les jeunes Gazaouis à devenir les « soldats du prochain 7 octobre ».

Les preuves ont été transmises à GoFundMe. Résultat : la campagne de financement a été gelée en 36 heures.

La semaine dernière, l’équipe a également réussi à faire cesser une autre campagne GoFundMe qui visait à récolter plus d’un million de dollars au profit d’une association caritative.

Des organisations terroristes se font passer pour des organisations d’aide aux enfants de Gaza.

Derrière cette campagne se cache une ONG appelée Ibrahim Ayyash, créée par les fondateurs de Gaza Now, dont les activités sont bloquées par l’administration américaine, soupçonnée de financement du terrorisme.

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