Brooke Goldstein*, la journaliste en question partie enquêter, sur place, à Gaza.
*Fondatrice du Lawfare Project, avocate, auteure et personnalité télévisée. Activiste dans le mouvement EndJewHatred. Le projet se consacre, selon ses propres termes, à la lutte contre « les efforts des ennemis de l’État d’Israël pour délégitimer Israël et compromettre sa capacité à se défendre ».
1. En tant qu’avocate spécialisée dans les droits de l’homme, je suis profondément troublée par les allégations qui circulent dans les médias concernant une prétendue famine à Gaza. Ces allégations émanent du Hamas, organisation désignée comme terroriste par les États-Unis et l’Union européenne, et sont reprises sans discernement par les grands médias et les commentateurs de la télévision.
Il nous incombe d’examiner les faits, mais de nombreux soi-disant journalistes ont complètement abandonné cette responsabilité. Laissez-moi donc vous les détailler :
Les faits :
Plus de 600 camions de nourriture et des milliers de caisses d’aide humanitaire pourrissent actuellement au soleil à la frontière de Gaza. Pourquoi ?
Parce que les Nations Unies refusent de les distribuer. Si Gaza souffre d’une famine généralisée – comme ils le prétendent – pourquoi l’ONU ne fournit-elle pas l’aide ?
• N’est-ce pas l’ONU elle-même qui a affirmé il y a quelques semaines que 14 000 enfants allaient mourir de faim à court terme ? Ah oui, ce chiffre a été complètement inventé, puis rétracté. Mais le mal était déjà fait.
Depuis le 7 octobre, au moins 1,3 million de tonnes de nourriture sont entrées à Gaza, la plupart par camions acheminés directement par Tsahal. Cela suffit à nourrir plus de deux millions de personnes pendant deux ans. La question se pose donc : où est passée toute cette nourriture ?
Le Hamas l’accumule.
Il n’y a pas de famine à Gaza ; le Hamas mène une politique délibérée de famine et de manipulation. Le groupe terroriste stocke de la nourriture dans ses propres entrepôts, tandis que des vidéos de ses combattants mangeant, applaudissant et visiblement bien nourris ont fait surface.
Soyons très clairs :
Le Hamas décide qui mange et qui meurt de faim à Gaza.
Ils ne se contentent pas de voler la nourriture de leur propre peuple, mais ils torturent et affament également les otages israéliens qu’ils détiennent – des otages qui doivent être libérés immédiatement, morts ou vifs.
Et soyons honnêtes : seul le Hamas décide si cette guerre continue ou s’arrête. S’il libérait les otages aujourd’hui, tout cesserait.
C’est une paresse intellectuelle et une faillite morale que de prétendre être indigné par la prétendue famine à Gaza sans poser la question la plus fondamentale :
Qui est réellement responsable ?
Hier 17 août: (photos et texte )
« Les données des Israéliens et de la Fondation humanitaire pour Gaza montrent une très forte baisse des prix des produits de première nécessité à Gaza suite à l’afflux massif d’aide humanitaire dans la bande de Gaza. Lorsque la nourriture est distribuée directement à la population de Gaza, elle empêche le Hamas d’utiliser la nourriture comme une arme, de la voler et de la vendre à des prix exorbitants pour financer ses opérations. Les prix des produits essentiels sur les marchés de Gaza, comme les pommes de terre, les oignons, la farine, le riz, le sucre et d’autres denrées de base, sont en forte baisse ! C’est pourquoi il est si important que le travail du Gaza Humanitarian Foundation se poursuive. Avant GHF la nourriture était livrée par UNRWA directement aux terroristes du Hamas afin qu’ils puissent poursuivre leur guerre brutale contre leurs propres civils et les civils israéliens.
C’est pourquoi le Hamas continue d’exiger, comme condition de tout « cessez-le-feu », l’arrêt du travail de la Fondation humanitaire pour Gaza.
Voici quelques photos que j’ai prises hier à Gaza au centre de distribution SDS 3, des milliers de tonnes d’aide qui ont été livrées hier, directement entre les mains des civils de Gaza, hommes, femmes et enfants. »
Source: thelawfareproject.org
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