Contrairement aux autres clients du F-35, qui dépendent des cycles de mise à jour logicielles imposés par les Etats-Unis, l’armée israélienne peut adapter librement les logiciels de ses appareils, intégrer ses propres systèmes (cybersécurité, guerre électronique, etc.) et ajuster les données de mission. Une flexibilité cruciale en opération.

Selon les bilans communiqués par l’armée israélienne et par l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), ces frappes ont été efficaces. L’Iran, de son côté, affirme avoir abattu quatre avions israéliens, sans toutefois fournir de preuves. Cette «campagne (est) la plus difficile jamais menée par des F-35», estime Justin Bronk, expert en aviation militaire au Royal United Services Institute, auprès de Business Insider.