Ce que nous indique ce livre, à sortir » Les Complices du mal », c’est ce que nous savions en partie, mais cette fois la chose est documentée. La seule chose qui pourrait nous intéresser, après cela, ce sont les suites judiciaires de cette affaire d’État , où un parti politique français soumis à la législation française et notamment les lois contre l’antisémitisme, vivant de nos impôts, s’en prend de facto à des citoyens français juifs, pour leur faire vivre un enfer en toute impunité.
La France de Monsieur Macron est complice de la chose, d’autant que son parti a fait alliance aux dernières élections législatives de 2024 avec LFI. La collusion du pouvoir avec LFI n’est pas imaginaire, et ce n’est pas diffamatoire que de dire que Macron et Mélenchon sur le terrain de l’antisémitisme se sont rejoints depuis longtemps. Si la lutte contre l’antisémitisme de M. Macron est spectaculaire, c’est uniquement au sens de sa mise en scène, notamment en instrumentalisant les pauvres dirigeants communautaires qui lui sont redevables.
Islamisme, antisémitisme et vote communautaire : l’enquête qui embarrasse LFI
À paraître début octobre, Les Complices du mal du journaliste franco-syrien Omar Youssef Souleimane provoque déjà un séisme politique. L’ouvrage documente les relations entre LFI et des organisations islamistes proches des Frères musulmans, accusant le parti de Jean-Luc Mélenchon d’instrumentaliser le « vote musulman » au prix d’alliances inquiétantes. LFI a tenté d’en interdire la publication, renforçant encore l’écho d’une enquête qui mêle témoignages, preuves et accusations lourdes sur les rapports de la gauche française avec la République et la laïcité.
Un livre qui n’est pas encore en librairie fait déjà trembler la scène politique française. Les Complices du mal, du journaliste franco-syrien Omar Youssef Souleimane, paraîtra début octobre. Fruit d’une vaste enquête de terrain, l’ouvrage met en lumière les liens entre des dirigeants de La France insoumise (LFI), le parti d’extrême gauche de Jean-Luc Mélenchon, et des organisations islamistes proches des Frères musulmans, ainsi que leur influence croissante dans la vie politique et sociale française.
La polémique a éclaté lorsque les avocats de LFI ont adressé une mise en demeure à l’éditeur pour tenter d’en empêcher la parution, accusant le livre de « porter atteinte à l’honneur du mouvement ». Une démarche perçue par beaucoup comme une tentative de censure : l’ouvrage n’étant pas encore publié, les plaignants ne pouvaient guère l’avoir lu. Pour l’auteur, cette réaction démontre qu’il a touché un point sensible : « J’ai fui la Syrie pour vivre dans un pays libre, et treize ans plus tard je découvre des responsables politiques qui veulent me faire taire », déplore Souleimane.
Au cœur de son livre, une enquête sur la manière dont LFI a noué des liens avec des groupes islamistes actifs en France, notamment ceux liés aux Frères musulmans. Souleimane raconte comment, dissimulé sous un keffieh et des lunettes noires, il a pu infiltrer des manifestations pro-palestiniennes et observer de près les relations entre élus LFI et militants connus pour leurs affinités avec le Hamas ou le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP).
Selon le journaliste, ces cortèges ne se contentaient pas de scander des slogans ouvertement antisémites : ils arboraient également des symboles, des uniformes et des références directement inspirés du Hezbollah et du Hamas. Aux côtés de ces groupes, des figures de LFI comme Mathilde Panot, Thomas Portes ou Rima Hassan apparaissaient sans la moindre réserve. L’enquête met en évidence une stratégie assumée : bâtir une alliance électorale sur le soi-disant « vote musulman ».
Le livre s’appuie également sur des rapports officiels consacrés aux Frères musulmans en France, qui depuis des années alertent sur leur capacité à infiltrer associations locales, ONG et réseaux sociaux ou humanitaires. Le mouvement islamiste aurait trouvé dans l’État-providence français un terrain fertile – subventions municipales, programmes d’intégration, aides sociales – pour se consolider.
Ce réseau d’influence lui permet de présenter son idéologie comme une défense des musulmans face à un État perçu comme hostile, tout en détournant des ressources publiques vers des projets promouvant des valeurs incompatibles avec la République laïque. Souleimane accuse une partie de la gauche d’avoir pleinement conscience de ce pouvoir mobilisateur, mais de préférer fermer les yeux en échange d’un bénéfice électoral dans des circonscriptions où l’électorat issu de l’immigration peut faire basculer le scrutin.
L’ouvrage ne se limite pas à une tribune : il est étayé de photos, de vidéos et de témoignages directs. C’est ce qui dérange, selon l’auteur, la gauche française : l’enquête associe preuves matérielles et récit d’un opportunisme politique où se mêlent antisémitisme et réseaux islamistes. Elle cite même nommément des députés de l’Assemblée nationale ayant cautionné de telles alliances.
En réalité, la controverse ne fait que commencer. La tentative de LFI d’empêcher la parution du livre semble avoir eu l’effet inverse : elle a décuplé l’intérêt pour un ouvrage qui, si ses conclusions se confirment, pose une question brûlante sur le rapport de la gauche française à la République, à la laïcité et à la sécurité nationale.
Atlantico – JForum.Fr
Un cri d’alerte dénonçant l’alliance trouble de La France Insoumise avec l’islamisme, et son projet de déstabilisation de la démocratie française.
D’origine syrienne, Omar Youssef Souleimane a infiltré plusieurs manifestations de soutien à la Palestine organisées par La France Insoumise et des associations palestiniennes marquées par la présence d’islamistes en leur sein. Il y a recueilli des slogans antisémites, des images radicales et des témoignages édifiants.
Rédigé à la première personne et dans un style narratif, ce témoignage mêle enquête de terrain, analyse politique et récit personnel. Après des mois de travail et de nombreux entretiens avec les cadres du parti, l’auteur révèle les liens entre certains candidats LFI et des projets islamistes tentant d’imposer de nouvelles normes sociales compatibles avec la charia. En mettant en place un discours séparatiste, jouant sur la mémoire coloniale pour mobiliser une partie de la jeunesse française, ces acteurs créent les conditions d’un affrontement social.
Ce livre est un cri d’alerte. Il rappelle que la lutte contre l’islamisme constitue aussi une protection pour les Musulmans de France, pris en otage par ceux qui prétendent parler en leur nom. Il met en garde contre l’alliance entre l’extrême gauche et l’islam politique, véritable projet de déstabilisation menaçant directement la laïcité, l’universalisme républicain et la cohésion nationale.
Similaire
La rédaction de JForum, retirera d’office tout commentaire antisémite, raciste, diffamatoire ou injurieux, ou qui contrevient à la morale juive.
La source de cet article se trouve sur ce site