L’avocat Efraïm Damari (notre photo), qui représente plusieurs combattants de l’unité « Force 100 », estime que l’affaire a été révélée par le mérite du grand rassemblement de prière à Jérusalem. Il explique les motivations ignobles de la procureure : « Elle a voulu plaire au monde et au gouvernement Biden. »
Betsalel Kahn et David Hakham
« C’est un grand miracle que le Saint béni soit-Il nous a fait », déclare ce matin à Kol ‘Haï l’avocat Efraïm Damari, après l’explosion de « l’affaire de la procureure générale militaire ». Il représente plusieurs soldats de la Force 100 accusés de graves délits à la suite d’une vidéo falsifiée qui a été divulguée par le parquet militaire aux médias.
« Des centaines de milliers de personnes se rassemblent à Jérusalem pour une prière et un cri vers le Ciel, acceptant sur eux le joug de la royauté divine – et soudain, les choses commencent à bouger », raconte-t-il.
Damari décrit le début du procès des soldats, alors que personne ne croyait leur version :
« Je suis arrivé avec les soldats à la Cour suprême et je leur ai dit : la déclaration sous serment de la procureure Yifat Tomer-Yeroushalmi est mensongère ! Les juges m’ont répondu : mais enfin, la procureure ne ment pas !
Ils ont terni notre réputation et versé notre sang ; ils ont provoqué un attentat médiatique colossal : une vidéo qui a dépassé les 100 millions de vues et a amplifié l’antisémitisme à travers le monde. »
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