Wiz, une pépite israélienne spécialisée dans la cybersécurité du cloud, a été cédée cette semaine à Google pour 32 milliards de dollars. Pour la seconde fois en dix ans, ses cofondateurs, issus des unités technologiques de l’armée, revendent un de leurs « bébés ».
Dans la nuit de jeudi à vendredi, au pied de la tour Azrieli, un gratte-ciel phare de la skyline de Tel-Aviv (Israël), un immense panneau publicitaire affiche en lettres blanches sur fond noir un message scintillant : « Un seul deal compte vraiment : l’accord sur les otages ». Signée Wiz, la formule devient virale.
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