Selon le Service météorologique israélien, sur la période de décembre 2024 à février 2025 (qui correspond à la saison des pluies en Israël), seulement 40 % des précipitations moyennes annuelles ont été mesurées. Au cours d’une année « normale » le niveau des précipitations se situe habituellement à près 70% début mars.
Sur la plaine côtière méridionale, la haute Galilée ou encore le plateau du Golan, la situation est décrite comme « extrêmement sèche », alors que sur le reste du territoire est qualifié de « sec » ou « relativement sec ».
Lors d’une conférence du Forum israélien sur le climat le 3 mars, le Président Herzog a déclaré qu’Israël était « confronté à une catastrophe climatique claire et évidente », exhortant le gouvernement à adopter la loi sur le climat, qui fixerait un objectif de neutralité carbone d’ici à 2050.
SOURCE. AMBASSADE FRANCE EN ISRAEL. SERVICE ECONOMIQUE.
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c’est pas cela qu’il faut faire: il faut une autre usine de dessalement
c’est pas cela qu’il faut faire: il faut une autre usine de dessalement: l’impacte du zero carbone par Israel sera derisoire