Les bombardements israéliens continuent de dévaster la ville de Gaza, tandis que des journalistes sont tués ou pris pour cible, limitant la couverture médiatique.
Les bombardements d’infrastructures et de tours de communication laissent également les civils isolés, alors que les attaques et les menaces israéliennes en cours forcent des centaines de milliers de personnes, la faim au ventre, à fuir sous le feu, entraînant une crise de déplacement massif dans la ville de Gaza.

Le coût de la fuite des maisons dans la ville de Gaza,dépasse les 3000 euros par famille. L’approvisionnement en abris de l’UNRWA est interdit depuis près de sept mois. Le carburant est rare et les places sont déjà surpeuplées et difficiles à trouver. Après près de deux ans de guerre, les gens n’ont plus de revenus.
C’est aussi l’une des raisons pour lesquelles des centaines de milliers de Palestiniens restent encore dans le centre de Gaza ville, sous les bombes

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