Gabriel Attal s’est rendu dans le sud à Kfar Azza et Reïm et dans le nord à Metula.
Sur les ruines du kibboutz de Kfar Azza, ravagé par l’attaque du 7 octobre, Gabriel Attal a déclaré:
« À Kfar Aza et à Re’im, les cicatrices du 7 octobre sont encore vives. Des familles massacrées chez elles, des jeunes fauchés en pleine fête, une violence inouïe qui a tout balayé.
Mais les survivants refusent de plier. Ils reconstruisent malgré la douleur, témoignent malgré l’horreur, vivent malgré tout.
Se souvenir, c’est refuser que l’histoire se répète. Face à la barbarie, la mémoire est une arme ».
Puis il s’est rendu dans le nord à la frontière avec le Liban, dans la ville de Metula, elle aussi meurtrie par la guerre et les tirs de roquettes du Hezbollah.
Pour Gabriel Attal, « La France a un rôle central à jouer dans la préservation du cessez-le-feu et la recherche d’une stabilité durable pour la région ».
LPH.
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