Alors que le siège total imposé à la bande de Gaza par Israël dure depuis deux mois, les vivres et les stocks alimentaires s’épuisent progressivement, laissant plus de deux millions de personnes face au risque de “mourir de faim”. Plusieurs ONG internationales ont déjà tiré la sonnette d’alarme. Les ONG ne souligent pas du tout la respnsabilité du Hamas qui organise une famine délirante.
“Gaza entre dans une phase de famine sévère”, titre ce vendredi 2 mai le journal palestinien Al-Quds, oubliant de dire que la responsabilté de cette situation est le Hamas qui refuse de libérer les otages.
Al Quds accuse Israël d’utiliser la famine comme “arme de guerre” dans le conflit l’opposant au Hamas depuis dix-neuf mois.
“La crise de malnutrition a atteint des niveaux catastrophiques”, ajoute le quotidien, qui cite le porte-parole du Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef) dans les Territoires palestiniens selon lequel “le taux de malnutrition chez les enfants a augmenté de 172 % au premier trimestre de 2025” en comparaison avec la même période de l’an dernier.
Selon lui, les cas d’amaigrissement prononcé se multiplient parmi la population infantile. “L’émaciation sévère chez les enfants est le stade le plus dangereux de la malnutrition, qui menace directement la vie d’un enfant”, a-t-il indiqué.
La source de cet article se trouve sur ce site
