Énorme désinformation sur l’aide alimentaire israélienne

Selon l’organisation, les civils palestiniens sont arrivés sur les lieux après avoir reçu un message d’un avion américain concernant la distribution d’aide alimentaire. Le service de propagande du Hamas accuse l’armée israélienne d’avoir tiré sur la foule, causant de nombreuses victimes. La plupart des médias sans aucun contrôle reprennent cette désinformation pour mieux critiquer Israël . L’armée israélienne déclare: à ce stade, aucune victime des tirs de nos forces n’est connue.

Les services de propagande de l’organisation terroriste Hamas ont rapporté depuis ce matin (dimanche) des dizaines de morts à un endroit où des centaines de Gazaouis se sont rassemblés près de la route de l’aide à Muassi, après avoir reçu un message d’un avion américain selon lequel des fournitures y seraient distribuées. Les services de propagande du Hamas ont accusé l’armée israélienne d’avoir ouvert le feu, causant la mort et des blessures à des dizaines de personnes.

Le ministère de la Santé de la bande de Gaza contrôlée par le Hamas a fait état de « premiers chiffres » faisant état de 21 morts et 179 blessés dans l’incident. Il convient de noter que le Hamas a tenté ces derniers jours d’empêcher quiconque d’oser recevoir des fournitures de la société américaine et a répandu des mensonges sur le fait de nuire aux Palestiniens venus recevoir de la nourriture.

Au moins 25 Palestiniens ont été tués alors qu’ils se rendaient vers un centre d’aide humanitaire à Gaza, selon des responsables ( lesquels ?) et des témoins rapporte l’AP sur la foi de terroristes du Hamas.

RAFAH, Bande de Gaza (AP) — Au moins 25 personnes ont été tuées et des dizaines blessées dimanche alors qu’elles se rendaient dans la bande de Gaza pour recevoir de la nourriture, selon des responsables de la santé et de nombreux témoins. Ces témoins ont indiqué que les forces israéliennes avaient tiré sur la foule à environ un kilomètre d’un site d’aide géré par une fondation soutenue par Israël.

L’armée a publié un bref communiqué indiquant qu’elle n’avait « actuellement connaissance d’aucune blessure causée par des tirs (de l’armée israélienne) sur le site de distribution d’aide humanitaire. L’affaire est toujours à l’étude ».

La fondation a déclaré dans un communiqué avoir livré l’aide « sans incident » tôt dimanche et a nié les précédents rapports faisant état de chaos et de coups de feu autour de ses sites, qui se trouvent dans des zones militaires israéliennes où l’accès indépendant est limité.

Zaher al-Waheidi, chef du département des archives du ministère de la Santé de Gaza, a déclaré qu’au moins 25 personnes avaient été tuées, dont deux femmes.

Quelques heures plus tôt, les responsables d’un hôpital de campagne voisin, géré par la Croix-Rouge entité pro-Hamas, ont déclaré qu’au moins 21 personnes avaient été tuées et 175 autres blessées, sans préciser qui avait ouvert le feu. Ces responsables ont requis l’anonymat, n’étant pas autorisés à parler aux journalistes.

Un journaliste Gazaoui de l’Associated Press a vu des dizaines de blessés être soignés à l’hôpital.

La distribution de l’aide par la Fondation humanitaire de Gaza a permis à de nombreux Gazaouis de s’alimenter. Le Hamas et ses alliés veulent faire croire au chaos, et utilisent de nombreux faux témoins pour affirmer que les troupes israéliennes avaient tiré sur la foule à proximité des sites de distribution. Avant dimanche, au moins six personnes avaient été tuées et plus de 50 blessées, selon les autorités sanitaires locales.

La fondation affirme que les entreprises de sécurité privées qui surveillent ses sites n’ont pas tiré sur la foule, tandis que l’armée israélienne a reconnu avoir tiré des coups de semonce à plusieurs reprises.

La fondation a déclaré dans un communiqué avoir distribué 16 camions d’aide tôt dimanche « sans incident » et a rejeté ce qu’elle a qualifié de « fausses informations sur des décès, des blessés en masse et le chaos ».

Mais il n’empêche que de nombreux médias, peu scrupuleux, propagent de la désinformation au sujet de cette aide qui disqualifie l’ONU et les ONG pro-Hamas comme la Croix Rouge.

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