Cette merveille date du 4 juillet dernier, jour de la fête nationale. La Maison-Blanche publie une photo de Trump grimé en jedi bodybuildé, avec des drapeaux étoilés et des aigles. Problème : son sabre est rouge comme ceux… des seigneurs Siths (les méchants).
Le 6 septembre, Donald Trump se croit dans « Apocalypse Now » et menace Chicago avec son tout nouveau Département de la Guerre. « J’aime l’odeur des déportations le matin… », s’amuse-t-il en parlant des expulsions ultra-violentes de migrants.
Le 3 octobre, Donald Trump parodie le clip « (Don’t Fear) The Reaper » des Blue Öyster Cult. En plein « shutdown », il sonne la cloche tandis que Russ Vought, chargé du Budget, incarne la « Grande faucheuse ».
Deux jours à peine après son investiture le 20 janvier, le ton est donné : le président des Etats-Unis se balade avec un lion tous crocs dehors.
Le 19 février, la Maison-Blanche publie une fausse une du magazine « Time » : Trump porte une couronne et il est écrit « Longue vie au roi ». Une manière très particulière de célébrer le stop mis au péage urbain à New York.
Le 2 mai, à quelques jours du conclave organisé à Rome pour trouver le successeur du pape François, Trump se met en scène déguisé en souverain pontife. C’est bien un Américain qui l’emportera… mais pas lui.
Durant l’été, c’est la panique chez les conservateurs : la chaîne de restaurants Cracker Barrel risque de perdre le vieux paysan et son tonneau sur son logo. Après une levée de boucliers, la marque fait machine arrière, et Trump serre la pince de tonton Herschel début septembre.
A la rentrée, un compte sur X poste cette vidéo du « Commandant en action », selon sa légende. Tout content de son virage sécuritaire, Donald Trump le reposte.
Le 11 juillet, la Maison-Blanche y va franchement : Donald Trump devient Superman pour défendre la « vérité », la « justice », le tout « à l’américaine ».
Elle a fait le tour du monde : début février, Donald Trump reposte une vidéo délirante qui imagine la bande de Gaza transformée en Riviera. Le bon goût à l’état pur.
En juillet, empêtré dans l’affaire Epstein, Donald Trump reposte une vidéo IA de la fausse arrestation de Barack Obama. Il dépubliera face au tollé.
Nouveau scandale le 30 septembre, quand Donald Trump affuble Hakeem Jeffries, le chef de la minorité démocrate à la Chambre, d’une fausse moustache et d’un sombrero.
Celle-ci aussi a été beaucoup commentée : en octobre, face au mouvement « No Kings », Trump répond avec une vidéo qui dépasse l’entendement : sa couronne sur la tête, il pilote un avion de chasse et largue des tonnes d’excréments sur les manifestants.
Depuis son retour à la Maison-Blanche, le républicain veut avoir la main sur la programmation du Kennedy Center, prestigieuse institution culturelle de Washington. Dès février, il s’y imaginait en chef d’orchestre.
Deux jours après sa rencontre avec Vladimir Poutine en Alaska mi-août, Trump reposte une photo de lui en faiseur de paix. Mais le Nobel ne sera pas pour lui…
Le 3 septembre, Trump verse dans la grossophobie avec cette vidéo de ses adversaires JB Pritzker, gouverneur de l’Illinois, et de l’ancien patron du New Jersey, Chris Christie, faisant un combat de sumos.
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