Regardez l’âge des personnes que la police britannique est obligée d’arrêter avec les nouvelles lois dictées par Israël et tirant un trait d’égalité entre terrorisme et assistance à peuple en danger :
Des dizaines de manifestants et de militants restent emprisonnés sans procès, notamment des membres de Palestine Action dont plusieurs sont en grève de la faim
Les agissements de la police britannique contredisent clairement le soutien à la liberté d’expression et aux manifestations pacifiques, prenant de fait parti pour l’occupation israélienne, lui offrant une couverture politique et empêchant toute manifestation d’opposition.
Des remous dans l’armée ?
Mais « ça rue dans les brancards » et y compris dans l’armée.
Quatre anciens officiers supérieurs de l’armée britannique – le brigadier John Deverell, le lieutenant-général Sir Andrew Graham, le major-général Peter Currie et le major-général Charlie Herbert – ont exhorté le chef du parti travailliste, Keir Starmer, à imposer un embargo total sur les armes à Israël et à interdire toute transaction avec les entreprises de défense israéliennes.
Ils ont averti que le prétendu cessez-le-feu à Gaza ne justifie pas un retour à la situation antérieure. Les officiers ont déclaré que les pratiques militaires israéliennes violent les normes britanniques, citant l’utilisation de munitions sans discernement, les pertes civiles massives, la destruction d’infrastructures, la torture de détenus et le ciblage d’hôpitaux et d’écoles.
Ils ont appelé à l’arrêt immédiat de toute forme de soutien, y compris les opérations de la Royal Air Force, les transferts de technologies militaires et la formation d’officiers israéliens dans les académies britanniques.
Cette déclaration intervient alors que l’armée britannique envisage d’attribuer un contrat de formation de 2 milliards de livres sterling à la société israélienne Elbit Systems.
CAPJPO-Europalestine
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