Béni soit Celui qui nous a fait un miracle
Même aujourd’hui, il y a des aveugles dans les ténèbres de la compréhension élémentaire, des aveugles sans connaissance, qui ne frappent pas leur cœur en signe de remords, qui ne font pas leur examen de conscience, qui ne regrettent pas la campagne électorale en faveur de Kamala Harris. Si elle avait été élue, qui sait dans quel état se trouverait l’État d’Israël.
Béni soit Celui qui nous a fait un miracle.
Il est difficile de croire – et encore plus difficile d’imaginer – qu’il y avait des Juifs, dans la diaspora souffrante comme dans notre bonne terre, qui souhaitaient la victoire de Kamala Harris, priaient pour son succès, agissaient en sa faveur, avec calme et discernement.
Béni soit Celui qui nous a fait un miracle.
Le Maître des causes, contre toutes les probabilités, contre tous les sondages, contre tout le conditionnement de masse des consciences, a sauvé l’État d’Israël et le peuple juif du terrible danger qui aurait pu s’abattre sur nous si, Dieu nous en préserve, avait été élue cette femme qui a exprimé ses réserves envers l’État d’Israël.
Béni soit Celui qui nous a fait un miracle.
Même aujourd’hui, il y a des aveugles dans les ténèbres de la compréhension élémentaire, des aveugles sans connaissance, qui ne frappent pas leur cœur en signe de remords, qui ne font pas leur examen de conscience, qui ne regrettent pas la campagne électorale en faveur de Kamala Harris. Si elle avait été élue, qui sait dans quel état se trouverait l’État d’Israël.
Béni soit Celui qui nous a fait un miracle.
Les jours du « dernier sioniste américain », le président américain Joe Biden, dont le cœur était au bon endroit, mais dont le guide, Barack Hussein Obama, et les membres progressistes de son parti – dont certains ouvertement antisémites – ont dévié la boussole jusqu’à imposer un embargo à Israël, jusqu’à vouloir conclure la guerre alors que nos ennemis, aux portes de nos implantations, planifient déjà sous l’égide américaine le prochain massacre.
Béni soit Celui qui nous a fait un miracle.
Et pourtant, il y a des Juifs qui, après les lamentations et les pleurs, la tristesse et le chagrin, le deuil et la douleur face à la victoire de l’ami du peuple juif, le président élu Donald Trump, persistent encore à penser qu’aucun choix ne serait meilleur pour l’État juif que Kamala Harris.
Béni soit Celui qui nous a fait un miracle.
Il est impératif de le rappeler aux admirateurs de Harris et aux endeuillés de Kamala : jamais un dirigeant américain n’a agi pour le peuple juif, pour sa sécurité, sa prospérité et sa liberté comme le président Donald Trump.
Béni soit Celui qui nous a fait un miracle.
En ces jours cruciaux pour le peuple juif, en ces jours d’être ou de ne plus être, alors que sept armées sur sept fronts menaçaient – et menacent encore – d’abattre l’État du peuple juif, c’est Donald Trump qui s’est tenu comme un roc aux côtés de l’État d’Israël.
Béni soit Celui qui nous a fait un miracle.
L’homme qui a transféré l’ambassade à Jérusalem, prié au Mur des Lamentations, reconnu la souveraineté israélienne sur le plateau du Golan – lors de son premier mandat – est le même homme qui, dès le début de son second mandat, a accueilli à deux reprises le Premier ministre Benjamin Netanyahou (boycotté auparavant par le président d’alors et sa vice-présidente), a levé l’embargo, transféré d’énormes quantités de munitions, y compris des munitions spéciales ayant permis de vaincre le Hezbollah au Liban, de faire tomber le régime syrien et de prendre le contrôle de son armée et de territoires confisqués, de participer à des frappes en Iran contre les installations nucléaires, d’opérer sans restrictions à Gaza, en Judée-Samarie, de frapper les Houthis au Yémen, et de mener des opérations antiterroristes en Irak.
Béni soit Celui qui nous a fait un miracle.
Le président des États-Unis, d’une main, œuvre à élargir les Accords d’Abraham, en y incluant des pays ayant appartenu à l’axe du mal, et de l’autre, permet des actions de puissance avec un seul objectif : plus jamais de massacre un jour de fête de Sim’hat Torah, plus jamais de menace existentielle.
Béni soit Celui qui nous a fait un miracle.
Et avec cela : sanctions contre l’Iran, plan de migration volontaire pour les Gazaouis, soutien total à la libération de tous les otages, veto sur toute proposition de loi restreignant les actions d’Israël, lutte sans compromis contre la Cour pénale internationale de La Haye, expansion des implantations juives, application de la souveraineté sur certaines parties de la patrie, interdiction faite au président de l’Autorité palestinienne d’entrer aux États-Unis et de s’exprimer à l’ONU, blocage de toute tentative d’établissement d’un État palestinien aux côtés d’Israël, lutte acharnée contre l’antisémitisme sur les campus universitaires – et ce n’est que la première moitié de l’année du président ami d’Israël.
Béni soit Celui qui nous a fait un miracle.
Et penser, Dieu nous en préserve, à ce qui aurait pu arriver si la bien-aimée de la gauche israélienne, la chérie des Juifs progressistes radicaux, l’espoir des rêveurs éveillés – Kamala Harris – avait été présidente des États-Unis.
Et penser que malgré tout cela, ces rêveurs éveillés, ces Juifs pour qui même le massacre de Sim’hat Torah n’a pas changé les convictions, s’apprêtent à voter, la tête haute et l’échine redressée, pour le candidat à la mairie de New York, Zohran Mamdani : anti-israélien, progressiste, soutien du BDS, accusant les soldats de Tsahal de crimes à Gaza, celui qui a promis d’arrêter le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou s’il venait à New York.
Prions avec ferveur : béni soit Celui qui nous fera encore un miracle, aussi à New York.
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