Benny Gantz demande au procureur général de s’abstenir de traiter l’affaire de la magistrate tandis que Ben Gvir déclare qu’Il existe des preuves contre elle sur le téléphone qui a disparu et que l’on recherche.
Le ministre de la Sécurité nationale a affirmé lors de la réunion du groupe parlementaire qu’il existait des « preuves très sérieuses » contre Baharav-Miara, sans toutefois préciser leur nature. De son côté Le président de Bleu et Blanc a déclaré : « Je pense qu’il est judicieux que le conseiller juridique (Baharav-Miara) confie le suivi de l’enquête sur l’affaire du « Sdé Teiman » ( la prison où se seraient passés les pseudo faits) à un avocat qui n’y a pas participé. »
Le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir, a déclaré aujourd’hui (lundi) lors d’une réunion de son parti qu’il existait des preuves « très graves » contre la procureure générale Gali Baharav-Miara. Itamar Ben-Gvir, a déclaré lors de l’ouverture de la réunion de son parti Otzma Yehudit : « En ce moment même, une femme est assise au ministère de la Justice, tremblante de stress. Elle sait pertinemment que des preuves à son encontre sont détenues sur le téléphone du procureur général. Si ce téléphone est retrouvé, il contiendra des preuves contre Gali Baharav et Yara. » Le ministre a affirmé : « Elle ne fait pas que faire pression sur la police, elle sait que la vérité peut éclater. La police a arrêté le procureur général après que celui-ci, profondément impliqué dans l’affaire, a tout fait pour la protéger, de peur que le prestige de l’État profond ne soit terni. Le procureur général a disparu du téléphone, et nous savons tous pourquoi. », « Je sais que le téléphone de la procureure générale contient des preuves de son implication dans des violations très graves de la loi. » Pour l’instant, le téléphone personnel de la procureure générale n’a pas été retrouvé et, selon une source proche de l’enquête, on soupçonne qu’elle a emporté deux téléphones avec elle à la plage hier soir, « l’un pour qu’ils puissent l’arrêter et l’autre qu’elle a jeté à l’eau ».
« Il est vrai que le procureur général supervisera l’enquête sur cette affaire. »
Dans le même temps, Benny Gantz, président du parti Bleu et Blanc, a appelé la procureure générale à se dessaisir de l’affaire. « J’ai toute confiance en la procureure générale et son équipe, et j’apprécie grandement leur travail visant à maintenir l’état de droit en cette période difficile », a-t-il écrit sur son compte X. « C’est précisément pour cette raison que j’estime qu’il est opportun que le conseiller juridique confie la supervision de l’enquête sur l’affaire du « Sdé Teiman » à un avocat qui n’y a été impliqué d’aucune manière, et ce, de façon ordonnée et professionnelle. »
Alors que la justice israélienne amuse la galerie depuis quatre ans, en nous parlant des bouteilles de champagne ou des cigares que Netanyahou aurait reçus ou non, les vrais problèmes de corruption au sommet du système judiciaire étouffés jusqu’à là, éclatent enfin au grand jour. Ceux qui braillent rue Kaplan en faisant la promotion de ce système judiciaire vérolé, en insultant le Premier ministre, se trouvent maintenant le nez dans leurs contradictions. Leur « démocratie » consiste pour eux, surtout à blâmer, salir, et diffamer l’État d’Israël, son gouvernement, et son armée. Cela vaut pour Ehoud Barak, Ehoud Olmert, Barnavi , Yaïr Golan et tous les autres. Le même jour, c’est la dernière grande institution de gauche, la Histadrout, qui est prise la main dans le sac pour corruption active concernant un réseau de copains et de coquins. Le mouvement travailliste fondateur de l’État se trouve lui aussi sali et c’est peu dire par tous ces opportunistes et ses imposteurs.
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