Le bourreau Benjamin Netanyahou, en procès pour corruption (c’est là son moindre pêché !) dans son propre pays, vient de demander une grâce présidentielle à son acolyte Isaac Herzog.
Ce dernier est un partenaire à temps plein du génocide du peuple palestinien. Dès octobre 2023, il a donné son blanc-seing aux massacres, en déclarant « Il n’y a pas de civils innocents à Gaza ».
Joignant le geste à la parole, il a ensuite tenu à dédicacer l’un des innombrables missiles tirés sur le territoire martyr.
Accordera-t-il sa grâce à Netanyahou, visé par un mandat d’arrêt international pour crimes contre l’humanité, mais également inculpé en Israël pour diverses affaires de pots-de-vin et corruption ?
Trump, qui accompagne la boucherie, a publiquement exhorté, on dira même ordonné, à Herzog d’enterrer le dossier. Il ne faudra donc pas s’étonner si le président obtempère.
La requête de Netanyahou, toujours convaincu de son impunité au niveau international, vaut son pesant de cacahuètes. « En dépit de mon intérêt personnel à voir ce procès conduit à bonne fin et qui prouvera mon innocence, l’intérêt du peuple dicte que l’on en reste là », écrit la crapule.
CAPJPO-EuroPalestine
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