Amir: un accueil triomphal et de soutien de Gardanne

Concert Amir à Gardanne
Concert d’Amir à Gardanne : une soirée inoubliable !

Ce soir, Gardanne a vibré au rythme des mélodies d’Amir, le chanteur franco-israélien, qui a su conquérir le cœur de ses fans malgré les tentatives de boycottage orchestrées par l’extrême gauche et la CGT.
Radio JM était sur place pour couvrir cet événement exceptionnel. Merci à S. Ranc et M. Barthes Barbero
Hervé Granier, maire de Gardanne a fait preuve de courage en ne cédant pas aux pressions, permettant ainsi à Amir de se produire devant une foule immense et enthousiaste.
Ce soir, c’est un véritable raz-de-marée d’émotions qui a déferlé sur la place de Gardanne. Dès les premières notes, le public était au rendez-vous, vibrant, chantant, dansant, applaudissant avec une solidarité rare.
Le chanteur Amir a été profondément touché par cet accueil aussi sincère que chaleureux. Il a d’ailleurs, avec sa générosité et son humilité légendaires, remercié les Gardannaises et les Gardannais.
Sur scène, Amir a exprimé son émotion : « Qu’est-ce que je l’ai attendu ce concert ? Dans le plus beau de mes rêves, je n’aurais pas imaginé un tel accueil. Merci beaucoup GARDANNE ! » Un grand merci à tous ceux qui ont fait de cette soirée un moment mémorable !

Un appel au boycott qui, au final, a été un beau fiasco puisque le concert a cartonné avec 3 500 spectateurs (selon le maire) venus faire la fête ce samedi soir et surtout réserver un énorme accueil triomphal, avec de longues standing ovations. C’est la même affluence que Christophe Willem l’an passé. Il a cependant réuni 700 personnes de moins… que la veille, mais de sa faute, dirons-nous. En effet, jamais un concert à Gardanne n’avait été aussi tardif, et il est rare qu’un concert de festival soit programmé si tard. Pour explications, Jeudi, 48 h avant l’événement, Amir avait demandé à retarder l’horaire de 90 minutes, car il faisait Shabbat, ce qui l’empêchait de travailler et donc de chanter. Prévu au départ à 21 h comme tous les artistes, ce n’est qu’à 22h38 qu’il est monté sur scène, se payant même le luxe d’être en retard.

On notera que face à la polémique, ce samedi soir, le dispositif de sécurité déjà conséquent avait été fortement renforcé, avec davantage de gendarmes, dont le PSIG, de policiers municipaux, de vigiles et une fouille à l’entrée bien plus longue et minutieuse.
La première partie a donc démarré à 21 h 30, au lieu de 20 h, avec le trio Bayaticha, gagnant du tremplin local l’an passé. Une des chanteuses terminera leurs 45 minutes de prestation en déclarant : « Soutien à tous les peuples opprimés, la musique ça sert à ça », et sa collègue d’ajouter : « PALESTINE ». Autant dire qu’en coulisses, la rencontre a dû être… animée.

C’est avec « Sommet », son tube de l’été 2024 (hymne des Jeux Olympiques de Paris 2024), qu’AMIR montera sur scène sous un déluge d’acclamations portées par le mistral. Pendant 1 h 35, il offrira au public, plus jeune que la veille mais multigénérationnel, un superbe spectacle mêlant chanson douce, triste à messages à des tubes festifs et dansant… où il se déchaînera totalement sautillant dans tous les sens en compagnie de ses 4 musiciens un batteur, un pianiste / guitariste et deux guitaristes bassistes dont Edouard de Star ac 3.