Ali Khamenei mendie sa fuite auprès de Poutine, mais il s’en est pris aux civils d’Israël

Vues:

Date:

Finira-t-il comme Assad ? Khamenei demande l’asile politique à Poutine 

Iran International rapporte que le chef d’état-major adjoint d’Ali Khamenei et d’autres hauts responsables sont en pourparlers avec des responsables russes pour faire sortir le guide suprême de l’Iran et sa famille du pays dans le cas où le régime serait renversé, et pour leur accorder l’asile politique.

Khamenei et Assad à Téhéran en 2019 (Photo : Reuters)

Des conseillers proches du guide suprême iranien Ali Khamenei négocient avec la Russie pour s’assurer de pouvoir s’échapper et obtenir l’asile politique si le régime montre des signes d’effondrement , a rapporté ce matin du lundi 16 juin,  l’agence de presse d’opposition « Iran International ».Selon le rapport, Ali Ashgar Hejazi, chef d’état-major adjoint de Khamenei, ainsi que plusieurs autres hauts responsables, sont en pourparlers avec des responsables russes pour le faire sortir du pays, lui et sa famille, si nécessaire.

 

Ali Ashgar Hejazi

Il a également été signalé qu’un haut responsable russe avait contacté Hejazi et lui avait assuré que si la situation se détériorait, lui et sa famille seraient évacués par un couloir sécurisé. Ces tactiques de fuite ne sont pas sans rappeler la « Route des Rats », qui avait sécurisé la fuite de responsables nazis hors d’Allemagne, au moment de la débâcle du III è Reich. D’autres personnes ont reçu des appels similaires de hauts responsables de la République islamique, et certaines finalisent actuellement leur itinéraire de sortie.

Assad, à deux doigts de finir seul sur le grill syrien , malgré les promesses ?

Rappelons qu’en décembre dernier, quelques jours après l’effondrement de la dynastie Assad en Syrie, la Russie confirmait que le président déchu Bachar el-Assad avait trouvé l’asile politique à Moscou . « Nous avons contribué au transfert secret d’Assad sur le territoire syrien », avait déclaré le vice-ministre des Affaires étrangères Sergueï Riabkov lors d’une interview accordée à la chaîne américaine NBC. « Il se trouve désormais en lieu sûr, ce qui montre que la Russie fera le nécessaire dans ces circonstances exceptionnelles. »

Interrogé sur l’extradition du dirigeant déchu, qui a le sang d’un demi-million de Syriens sur les mains, Ryabkov a répondu que « la Russie n’est pas signataire de la charte de la Cour pénale internationale ».

Poutine soudain aux abonnés absents ?

Kamel Saker, ancien directeur de la communication de la présidence syrienne, a révélé plus tard les moments dramatiques qui ont précédé la chute du régime d’Assad, le 8 décembre 2024. S’adressant à Al-Arabiya, il a décrit comment Assad a perdu le contact avec Moscou dans les jours critiques précédant la chute du régime. Selon Saker, Assad a tenté en vain de contacter le président Poutine pendant deux jours consécutifs. Les tentatives ont commencé le mercredi 4 décembre et se sont poursuivies jusqu’à jeudi. Après l’échec de ses tentatives, Assad s’est adressé à l’envoyé spécial russe en Syrie, Alexandre Lavrentiev, mais on lui a répondu que Poutine était en visite en Biélorussie et qu’il n’était pas disponible – une excuse perçue comme un retard délibéré.

Quelques jours avant la chute du régime, a déclaré Saker, Assad prévoyait de prononcer un discours télévisé. Ce discours, d’environ 400 mots, était prévu pour jeudi, mais a été reporté à vendredi, puis annulé. Saker souligne qu’Assad était très stressé et que le contenu du discours était « surprenant ». Dans la nuit du 7 au 8 décembre, après minuit, un attaché militaire russe est, enfin, arrivé au palais présidentiel. Il a coordonné la fuite d’Assad via l’aéroport de Damas vers la base aérienne russe de Khmeimim, puis vers la Russie. Le ministre de la Défense, le chef d’état-major, son garde du corps personnel et l’ancien secrétaire général du président, Mansour Azzam, ont pris la fuite avec Assad.

Ali Khamenei a donné l’ordre explicite de tuer le maximum de civils Israéliens

Le contentieux entre Israël et Assad s’en tenait à son rôle d’intermédiaire soumis aux volontés du Hezbollah et de l’Iran, bien qu’il ait ordonné la torture et le meurtre d’agents israéliens en mission d’Etat. Concernant Ali Khamenei, non seulement il a ordonné directement ou pas la plupart des meurtres de Juifs à travers le monde qu’ont pu commettre les réseaux Al Quds, depuis qu’il est au pouvoir, mais, désespéré par l’attaque israélienne surprise contre ses installations nucléaires, il a ordonné, en représailles aux divisions balistiques de massacrer directement le plus de Juifs que possible, au cours de ces frappes, qui ne visent qu’accidentellmeent des centres militaires et économiques. Ce faisant, même réfugié au fond d’une Datcha secrète de son allié le plus précieux, il est fort probable que l’ordre ne soit jamais levé de l’éliminer physiquement.

Ainsi, peut-être comprendra-t-il mieux le sens du mot « Fatwa », quand on le traduit en hébreu… 

0 Partages

La source de cet article se trouve sur ce site

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

PARTAGER:

spot_imgspot_img
spot_imgspot_img