Au moins dix Palestiniens ont été blessés après une attaque israélienne visant un rassemblement de civils dans le centre de la ville de Gaza, marquant une nouvelle violation de l’accord de cessez-le-feu, qu’Israël a violé plus de 800 fois depuis le 10 octobre.
Des sources locales rapportent qu’une Palestinienne a été tuée par un bombardement d’artillerie israélien dans la ville de Bani Suhaila, à l’est de Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, et 2 autres ont été blessés alors qu’ils tentaient d’atteindre l’endroit où une femme avait été frappée plus tôt dans la journée, au même endroit.
Les forces d’occupation israéliennes stationnées à l’est du quartier d’Al-Tuffah dans la ville de Gaza ont blessé par balle un Palestinien, selon des sources médicales.
Un autre aurait été tué par des tirs israéliens à l’est de Khan Younès.
MOURIR D’HYPOTHERMIE PARCE QU’ISRAEL BLOQUE L’AIDE HUMANITAIRE !
Un nourrisson palestinien est mort de froid à Gaza, devenant ainsi le cinquième enfant à mourir ces derniers jours alors qu’Israël continue de restreindre l’entrée des matériaux d’abris et d’autres aides humanitaires malgré les conditions hivernales rigoureuses et le cessez-le-feu.
Au complexe médical Nasser à Khan Younis, les prématurés luttent pour survivre dans des incubateurs alors que les restrictions israéliennes sur les passages frontaliers bloquent l’entrée de fournitures médicales essentielles, de préparations pour nourrissons et d’équipements de chauffage.
Le directeur du complexe médical Al Shifa a averti que 55 pour cent des médicaments sont actuellement indisponibles dans la bande de Gaza, aggravant ainsi la crise sanitaire actuelle. Les enfants de Gaza sont confrontés à de multiples dangers en même temps, notamment les meurtres causés par les chars, le froid extrême et la maladie.
Sans l’entrée des caravanes et du chauffage, il y aura un grand nombre d’enfants victimes, d’autant plus que les températures continuent de baisser, a-t-il souligné.
IL N’Y A PLUS D’ABRIS SÛRS À GAZA.
Les tentes se déchirent, s’envolent, ne protègent ni de la pluie ni du froid.
et les maisons en ruines risquent à tout moment de s’effondrer sur ceux qui essaient d’y trouver refuge
Et pas un mot dans les médias serpillères !
Nos dirigeants complice sont responsables de cette situation.
CAPJPO-Europalestine
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