Le Premier ministre australien absent des funérailles des victimes du massacre de Sydney : voici pourquoi
Naveed Akram, l’auteur de l’attentat de Bondi Beach, sort du coma à l’hôpital. La communauté juive de Bondi commence à enterrer les victimes du massacre.
Les scandales autour de cet attentat sortiront au fur et à mesure des récits et de l’enquête. Concernant ce Premier ministre de gauche, voire d’extrême gauche, les choses ne s’arrangent pas. Son absence, très remarquée, aux funérailles des victimes montre une forme de mépris et un manque certain d’humanité, c’est le moins que l’on puisse dire. Cela fait déjà quelque temps que la posture morale de la gauche est apparue aux yeux de tous comme une imposture. Il a donc cela en commun avec Macron absent de la manifestation contre l’antisémitisme en novembre 2023.
Le second point qui ressort de l’analyse des vingt premières minutes du massacre est l’indifférence des forces de l’ordre, qui ont laissé faire sans intervenir. On ajoutera l’étrange conduite de celui que l’on a un peu vite célébré en héros : il arrache l’arme à l’un des terroristes, mais le laisse repartir, lui permettant de prendre une autre arme et de recommencer à tirer. En tout cas, c’est ce que montrent clairement les vidéos concernant ce personnage.
Se sont-ils échangé des mots en arabe ? Lesquels ? Tout cela reste à éclaircir. La suite de la vidéo où le terroriste est désarmé et récupère une autre arme est difficile à retrouver.
Naveed Akram, le terroriste australien de 24 ans qui a perpétré le massacre de Hanoucca à Sydney avec son père et qui avait été hospitalisé dans un état critique, est sorti du coma et est inculpé de 59 chefs d’accusation, rapporte le New York Times ce mercredi. Akram est notamment accusé de terrorisme, de 15 meurtres et de 40 coups et blessures volontaires ayant entraîné une incapacité totale de travail supérieure à huit jours. Il est également accusé d’avoir fait usage d’une arme à feu, d’avoir exhibé publiquement un symbole d’une organisation terroriste et d’avoir posé des explosifs dans l’intention de nuire.
La police soutiendra qu’Akram a agi pour promouvoir une cause religieuse et semer la terreur au sein de la communauté. Lors d’une audience tenue aujourd’hui par visioconférence, il a été décidé que l’affaire serait de nouveau examinée lundi. Il a été précisé que le terroriste était dans le coma à l’hôpital jusqu’à hier après-midi et qu’il y est toujours hospitalisé sous surveillance policière.
Durant de longues minutes les barabres auront le temps de tirer sans que les forces de l’odre présentent ne réagissent.
Parallèlement aux procédures judiciaires, la police philippine enquête sur les déplacements des tireurs, après avoir confirmé leur présence dans le pays pendant la quasi-totalité du mois de novembre. On soupçonne qu’ils ont transité par la ville de Davao pour se rendre dans d’autres régions de Mindanao, une zone connue pour être un foyer d’extrémisme islamique violent. Un haut responsable de la lutte antiterroriste a déclaré à la chaîne australienne ABC qu’il est probable que les deux hommes aient reçu un entraînement de type militaire durant leur séjour.
Dans le contexte de l’enquête, la communauté juive de Bondi a entamé les funérailles des victimes du massacre. Selon un article du Guardian, une foule s’est rassemblée à la synagogue de Bondi pour les obsèques du rabbin Eli Schlanger , la première victime dont le nom a été révélé parmi les 15 personnes tuées lors de l’incident des bougies de Hanoukka à Archer Park. Le rabbin Schlanger, âgé de 41 ans, né à Londres, qui a dirigé la délégation Chabad à Bondi pendant 18 ans et a également officié comme rabbin auprès de l’administration pénitentiaire de Nouvelle-Galles du Sud, laisse derrière lui une épouse et cinq enfants, dont un bébé de deux mois.
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