Près de 5 000 Palestiniens ont été victimes de disparition forcée à Gaza. Depuis octobre 2023, des enfants, des hommes, en quête de nourriture ou de soins médicaux ont été enlevés sous la menace d’armes, et rayés des registres officiels.

Leurs familles vivent dans l’angoisse, sans aucune information ni reconnaissance quant au sort de leurs proches. Israël les qualifie de « personnes non recensées ». Leurs familles disent qu’ils sont « vivants quelque part ». Les organisations de défense des droits humains parlent de « disparitions forcées ».
Les familles font face à des informations et rumeurs contradictoires, angoissantes.
L’armée israélienne prétend souvent que leurs proches n’existent pas. Des détenus libérés affirment les avoir vus en prison. Les institutions promettent leur aide mais ne font Rien.
Une souffrance dont semblent se délecter les dirigeants israéliens.

CAPJPO-Europalestine
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