Depuis le 7 octobre, Israël a renforcé sa cybersurveillance pour faire du terrain numérique un espace sécurisé. Le Shin Bet, la police et les unités cyber du ministère de la Sécurité nationale travaillent conjointement pour détecter et neutraliser en temps réel toute apologie du terrorisme. Dans ce dossier, les enquêteurs soulignent que les propos publiés en ligne ne relèvent pas de la liberté d’expression, mais d’un incitatif capable de motiver des passages à l’acte ou de nourrir la propagande du Hamas.
Cette affaire s’inscrit dans une série d’enquêtes visant des utilisateurs de Facebook, TikTok, Instagram ou X qui glorifient des attaques ou relayent des messages terroristes. Israël applique désormais une politique de tolérance zéro : aucune plateforme ne doit devenir un relais de radicalisation.
L’exemple de Kfar Qassem envoie un signal clair : la cybersécurité israélienne intervient désormais aussi rapidement qu’une unité sur le terrain. À l’ère du numérique, chaque publication potentiellement dangereuse est traitée comme un risque immédiat, et la justice suit – sans délai.
La source de cet article se trouve sur ce site
