Le jeune français a guéri de façon miraculeuse et est venu recevoir la bénédiction du rav

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Après que le maître de la Halakha, rav Yits’hak Zilberstein, ait promis dans sa lettre aux élèves de la Yechiva Beth Midrach ‘Elyon que s’ils s’efforçaient d’étudier sans interruption et sans paroles futiles, « le Saint béni soit-Il enverrait Sa parole et le guérirait », le jeune homme Yoe‘l Aharon Tsarfati est venu remercier et recevoir la bénédiction du maître de la Halakha, après avoir guéri miraculeusement de sa terrible maladie par la grâce du Ciel.
À quoi le maître de la Halakha a-t-il attribué — dans son humilité — la guérison du jeune homme ? Tous les détails ci-dessous.

Kol réga’

Une grande joie régnait ces dernières semaines à la Yechiva Beth Midrach ‘Elyon de Bené Brak, après qu’un des meilleurs élèves, le jeune Yoe‘l Aharon Tsarfati — qui réside en France, et qui accomplit à titre personnel « Va en exil vers un lieu de Tora », étudiant depuis plusieurs années dans la Yechiva — a guéri de sa grave maladie et est revenu s’asseoir aux bancs de la maison d’étude.

Durant l’été dernier, les médecins avaient découvert qu’une terrible maladie se développait dans son corps. Il avait dû quitter pour longtemps la maison d’étude et voyager en France pour une opération complexe suivie de lourds traitements.

Pendant toute cette période, les élèves de laYechiva criaient et priaient pour la guérison de Yoe‘l Aharon ben Ruth, nécessitant une immense miséricorde du Ciel, les médecins ayant prévu un avenir très sombre concernant ses chances de guérison.

Mais ses amis ne désespérèrent pas : ils décidèrent de prendre sur eux un renforcement important pour éveiller des mérites en faveur de sa guérison. Un groupe d’élèves entra chez le maître de la Halakha, le rav Yits’hak Zilberstein, pour demander une bénédiction ainsi qu’une directive : sur quoi devaient-ils se renforcer pour la guérison du jeune homme.

Le rav Zilberstein leur dit de s’engager à étudier de manière continue, sans prononcer de paroles inutiles dans la maison d’étude, affirmant que cette attitude élevée serait un moyen certain d’obtenir sa guérison.

Quelques jours plus tard, les élèves reçurent avec émotion une lettre d’encouragement du rav Zilberstein, qui écrivait : « De nos jours, nombreux sont ceux qui tombent, hélas, malade du terrible fléau. Sachez que quiconque influence les autres à ne pas bavarder pendant la prière ou la lecture de la Tora, et à ne pas parler en plein milieu de l’étude ou en général dans la synagogue, mérite une protection supérieure. »

Il citait ensuite le Yerouchalmi dans Ta’anit (chap. 3) : « Honore ton médecin avant d’avoir besoin de lui » — allusion à l’idée qu’il faut honorer le Créateur, le médecin par excellence, avant que n’arrive le malheur. Celui qui honore D’ en ne parlant pas durant la prière ou l’étude, D’ le protège de toute souffrance et de toute maladie.

Il concluait sa lettre par une promesse claire : « Grâce à cet effort — veiller autant que possible à ne pas dire de paroles futiles pendant la prière et pendant l’étude — que le Saint béni soit-Il envoie Sa parole et le guérisse dans tous ses organes et ses tendons, parmi tous les malades d’Israël. »

Le roch Yechiva, le rav Yerachmiël Ungarischer, ajouta dans une lettre : « Je me joins aux paroles du grand gaon, et que s’accomplisse en nous : “J’écarterai la maladie du milieu de toi” — en particulier pour ce cher élève de notre groupe. »

Le machguia’h, le rav Shemouel Shoulman, écrivit également : « On ne peut imaginer la grandeur du mérite à se renforcer pour sanctifier le Nom divin en faveur de la guérison de notre ami. Que tous ceux qui se renforcent soient bénis d’En-Haut en tout. »

Et en effet, durant les fêtes de Tichri, les élèves reçurent la nouvelle bouleversante : de manière miraculeuse, la maladie avait complètement disparu. Les médecins restaient stupéfaits de ce retournement soudain. Par la miséricorde du Ciel, le jeune homme guérit totalement et revint d’urgence en Israël pour reprendre sa place dès le début de la session d’hiver, accueilli avec une grande émotion par ses camarades.

Un moment touchant eut lieu lorsque Yoe‘l Aharon Tsarfati se rendit chez le rav Zilberstein pour le remercier de ses bénédictions et de la lettre d’encouragement, et pour recevoir une nouvelle bénédiction.

Le rav Zilberstein fut très ému de voir le jeune homme guéri, mais dans son humilité, il n’attribua pas cela à sa propre promesse. Il lui dit : « Puisque tu habites en France, le pays où vécurent nos Maîtres les Ba’alé Tossafoth, je soupçonne que ce sont eux qui t’ont accordé ce mérite. Tu étudies constamment la Guemara avec Rachi et Tossafoth, et tu vis dans leur pays : il est probable qu’ils ont plaidé en ta faveur là-haut, et grâce à cela tu as mérité une guérison complète. »

Pour conclure, le rav le bénit du fond du cœur : qu’il mérite de persévérer dans son étude,
de construire un foyer en son temps, dans une santé parfaite et une vie pleine de joie.

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