Israel Katz interdit au CICR de visiter les détenus impliqués dans les massacres du 7 octobre.
Cette décision fait suite à une recommandation des Services de sécurité israéliens qui ont constaté qu’en violation flagrante de la mission du CICR ces visites permettaient aux assassins de communiquer avec leurs complices à l’extérieur.
Le motif est donc limpide : éviter toute communication avec les cellules militaires encore actives du Hamas.
Qui, depuis la collaboration de son patron avec les nazis, pouvait encore croire à la neutralité du CICR, qui perd les pédales dès que des Juifs sont dans l’équation ?
Depuis les pogroms déclenchés il y a deux ans par les hommes du complexe HAMAS-UNRWA, Jérusalem accuse ouvertement l’organisation d’avoir deux poids, deux mesures : attentive aux prisonniers palestiniens, silencieuse face aux otages israéliens.
Et l’histoire pèse lourd — le mutisme face à la Shoah, les ambiguïtés politiques, les passerelles troubles avec l’UNRWA.
Merci à Katz pour ce geste salutaire et symbolique : celui d’un État qui dit ouvertement à la plus vieille institution humanitaire du monde qu’elle a trahi sa mission.
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