Soudan – Le massacre que le monde refuse de voir
Hier encore, plus de 450 chrétiens ont été massacrés au Soudan en une seule journée.
Des femmes pendues. Des enfants fusillés. Des villages entiers rayés de la carte.
Les miliciens islamistes filment leurs crimes en criant Allahu Akbar, en tirant sur tout ce qui bouge.
Ce n’est pas un conflit politique.
C’est une guerre religieuse, une guerre d’extermination menée par des fanatiques qui veulent imposer l’islam par la terreur et effacer du pays toute trace du christianisme.
Et pourtant… le silence.
Aucun cri d’alarme de l’ONU.
Aucune déclaration de l’Union européenne.
Aucune conférence de presse.
Rien.
Mais où sont passés les humanistes ?
Où est Greta Thunberg, si prompte à se lever contre Israël ?
Où est Rima Hassan, si bruyante quand il s’agit du Hamas ?
Où sont les députés de La France Insoumise, qui prétendaient défendre la justice et la liberté ?
Où sont tous ces militants musulmans et gauchistes qui ont scandé pendant des mois le mot “humanisme” ?
Pourquoi leur compassion s’arrête-t-elle quand les victimes sont chrétiennes ?
Quand c’est Israël, tout le monde s’éveille :
les plateaux télé s’ouvrent, les manifestations s’organisent, les hashtags s’enchaînent.
Mais quand des chrétiens sont massacrés, quand des femmes sont violées et pendues, quand des enfants sont tués au nom d’Allah,
le monde se tait.
Le monde choisit ses victimes.
Les médias détournent le regard.
Les ONG ferment les yeux.
Les dirigeants occidentaux font semblant de ne pas voir.
Ce qui se passe au Soudan, c’est un génocide religieux, une purification idéologique.
Et le silence complice de ceux qui prétendent défendre les droits humains est une honte absolue.
L’humanisme qu’ils brandissaient comme un étendard n’était qu’un masque.
Un outil politique.
Car il n’existe plus dès que les victimes ne cadrent pas avec leur récit.
Où est la justice ? Où est la morale ? Où est la voix des peuples libres ?
Quand Israël se défend, on parle de “génocide”.
Quand les chrétiens sont exterminés, on parle de “conflit local”.
Ce deux poids deux mesures n’est pas seulement une hypocrisie : c’est une faillite morale.
Le monde ne manque pas d’informations.
Il manque de courage.
Il manque de vérité.
Et il manque d’humanité.
*Sarah Ben*
Source: La Matinale – l’info en direct d’Israël
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