Vous avez manqué les infos de ce début de matinée ? On vous a concocté un récap pour vous aider à y voir plus clair et briller à la machine à café.
Même si le message était en priorité destiné à Moscou, Donald Trump n’a pas manqué de rappeler à Pékin la puissance militaire des Etats-Unis. Peu avant sa rencontre très attendue avec son homologue chinois Xi Jinping en Corée du Sud, le locataire de la Maison-Blanche a ordonné ce jeudi à son ministère de la Défense de « commencer à tester » les armes nucléaires américaines. Cette annonce, où il fait directement référence à la Russie et la Chine, survient après que le président russe Vladimir Poutine l’a défié avec le test d’un drone sous-marin à capacité nucléaire. Selon le dernier rapport annuel de l’Institut de recherche international pour la paix de Stockholm (Sipri), les Russes affichent 5.489 ogives nucléaires contre 5.177 pour les Américains et 600 pour les Chinois. Au total, cette organisation estime à plus de 12.200 le nombre d’ogives détenues par les neuf pays disposant de l’arme atomique : la Russie, les Etats-Unis, la Chine, la France, le Royaume-Uni, le Pakistan, l’Inde, Israël et la Corée du Nord.
Deux suspects derrière les barreaux, mais un butin toujours introuvable : c’est, succinctement, à ce stade qu’en est l’enquête sur le spectaculaire cambriolage au musée du Louvre. Dans le détail, deux hommes de 34 et 39 ans ont été mis en examen mercredi soir pour vols en bande organisée et association de malfaiteurs, a annoncé la procureure de Paris, Laure Beccuau, sur le plateau de France 2. Les deux suspects, arrêtés samedi, ont également été placés en détention provisoire. Les défenseurs de l’un d’eux ont tenu à tempérer les attentes autour de cette affaire à forte résonance médiatique : « Il existe un décalage abyssal entre le caractère extraordinaire de ce dossier et la personnalité tout à fait ordinaire de notre client », ont-ils déclaré. Lors d’une conférence de presse mercredi, Laure Beccuau a en outre précisé que les deux suspects avaient « partiellement reconnu les faits ».
La lutte contre la drogue doit-elle passer par autant de morts ? Le Brésil se déchire actuellement sur cette question alors qu’une opération contre le trafic de stupéfiants a viré au bain de sang. Mardi, la police a mené à Rio de Janeiro une intervention contre le Comando Vermelho, un gang de narcotrafiquants. Et c’est depuis l’intervention policière la plus meurtrière de l’histoire du Brésil. Le bilan provisoire officiel fait état de 119 morts, dont quatre policiers.
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