Comme si deux années de génocide n’avaient pas suffi à assouvir la soif de sang palestinien des criminels au pouvoir en Israël, ces derniers ont bombardé à nouveau la bande de Gaza pendant 12 H mardi soir et mercredi matin. Et le terrible bilan des victimes s’élevait mercredi après midi à 104 personnes, dont 46 enfants et 20 femmes, ainsi que 253 blessés, dont 78 enfants et 84 femmes.




Israël a dit avoir voulu venger un soldat tué à Rafah, a parlé de « cibles terroristes », mais reconnait en même temps que les responsables du Hamas ne seraient pas impliqués dans ce meurtre, « probablement conduit par une cellule isolée ignorant le cessez-le-feu entré en vigueur début octobre ».
Etait-ce de toutes façons une raison pour tuer 104 civils dont une majorité d’enfants et de femmes dans leurs abris précaires ? Et d’en blesser 253 autres ?
De quels « terroristes » parle Israël ?
Des jeunes Sarah et Fadi, assassinés cette nuit par un bombardement israélien ?

Ou du journaliste palestinien Mohammad Al-Munirawi et de son épouse tués dans leur tente, dans le camp de réfugiés de Nuseirat, au centre de la bande de Gaza ?.

Mohammad Al-Munirawi qui devient le 256ème journaliste de Gaza assassiné par Israël !
Après cette nuit sanglante, l’armée israélienne, responsable du génocide, a officiellement annoncé la « reprise du cessez-le-feu » à 10h00, heure locale.
Et Trump d’affirmer que ce n’est pas cette petite tuerie qui va sonner le glas du cessez-le-feu :

Pendant ce temps, avec un équipement rudimentaire, les équipes de secours continuent de rechercher des victimes sous les décombres des maisons bombardées par Israël la nuit dernière à Gaza.


CAPJPO-Europalestine
La source de cet article se trouve sur ce site


