Casse spectaculaire au Louvre: l’expertise israélienne en renfort

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Casse spectaculaire au Louvre: l’expertise israélienne en renfort

Un terrible braquage a secoué le musée du Louvre ce dimanche matin, dans la somptueuse Galerie d’Apollon.
Neuf pièces historiques issues de la collection impériale de Napoléon Ier et de l’impératrice ont été dérobées sous les yeux incrédules des gardiens.

Les malfaiteurs, vraisemblablement bien préparés, ont infiltré le bâtiment par une zone en travaux le long de la Seine.
Utilisant un monte-charge de service, ils ont accédé à la salle et fracassé les vitrines protégées, aidés par des complices postés en sentinelle.

Le musée a été immédiatement fermé au public pour toute la journée, et la ministre de la Culture, Rachida Dati, s’est rendue sur place pour superviser les premières mesures.
Aucune arrestation n’a été effectuée à ce stade. Face à l’ampleur du scandale, les autorités françaises ont pris une décision inédite: faire appel à une société israélienne de sécurité pour assister l’enquête. CGI Group, spécialisée dans les investigations sensibles, a été mandatée pour garantir l’indépendance des expertises.
Cette entreprise est dirigée par Yaakov Peri, figure emblématique du renseignement israélien. Ancien chef du Shin Bet, le service de sécurité intérieure d’Israël, Peri apporte une expertise forgée dans les opérations antiterroristes les plus complexes.
Fondée sur des méthodes éprouvées, CGI Group avait déjà brillé en 2019 lors du « braquage du milliard » à Dresde, en Allemagne.
Là, des bijoux valant 113 millions d’euros avaient été volés ; les analyses de l’équipe Peri avaient permis de démêler le réseau criminel international.
« Recourir à une structure étrangère de ce niveau vise à écarter toute suspicion de collusion locale ou de dissimulation », expliquent des sources proches du dossier, citées par Ynet et Yedioth Aharonoth.

Les experts de CGI Group sont attendus sous 48 heures pour disséquer les scènes de crime : traces ADN, empreintes digitales, et potentiels circuits de revente sur le dark web.Ce coup de maître au cœur de Paris relance le débat sur la sécurité des musées. Le Louvre, forteresse culturelle, expose ses failles : rénovations en cours et sous-effectifs nocturnes ont favorisé l’intrusion.
Les artefacts volés – bijoux et objets d’or finement ciselés – représentent non seulement une perte patrimoniale inestimable, mais aussi un affront à l’héritage napoléonien.
L’enquête conjointe franco-israélienne pourrait bien révéler des connexions transfrontalières, impliquant des réseaux d’Europe de l’Est ou du Moyen-Orient.

Source: Meta
JForum.fr

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